07 février 2009
Suspendus... de Franck-Olivier Laferrère (partie n°1)

A cause de Fishturn, je me suis rendu compte que j'étais un piètre critique de théâtre.
Je n'ai même pas respecté la règle d'or n°1.
Le Fish, il me dit, "viens avec moi voir la pièce de Franck-Oliver Laferrère!".
Même pas "s'il te plait!".
C'était quasi un ordre.
(Et je ne veux pas le contrarier, sinon ses muscles gonflent, ils déchirent sa chemise, lui devient tout vert et il hurle AAARRRGGG! en se positionnant comme un sumo avant un combat.)
En vrai, j'ai accepté (jeudi soir dernier) parce que j'aime bien F-O.
Et que ça faisait un moment que je n'avais pas refait le monde avec le poisson tournant qui tourne...
Fishturn et moi le connaissons un peu.
Et sa vision des choses de la vie et de la société actuelle me parle.
Le concept était donc: "Nous allons voir la pièce Suspendus, puis nous allons parler de tout ça au restaurant, autour d'une bonne bouteille."
OK! Sauf que je suis arrivé à 20h15 dans la salle et que la pièce débutait à 19h30.
(La règle d'or n°1 est, au moins, darriver à l'heure...)
J'ai beaucoup aimé le quart d'heure qu'il restait.
Vexé comme un pou, je m'installe à côté de Fishturn et salue (pas du tout embarassé) Franck-Olivier.
Pas l'air con, moi!
Après la représentation, dont je n'ai évidemment pas saisi la substantifique moelle, je peux quand même avouer que notre soirée avec Franck-Olivier Laferrère fut exquise (comme en témoignerons certaines photos...).
C'est Fishturn qui est devenu journaliste.
J'étais présent, mais il m'a remplacé en tant qu'intervieweur.
Ce sera l'objet de ma prochaine note.
Comme, il ne reste que 5 représentations (dont une ce soir), je me contente de vous proposer quelques photos des deux comédiens en pleine représentations, l'histoire en quelques mots et le clip d'annonce de la pièce...
Les deux comédiens sont d'Héléna Soubeyrand et de Jean-Claude Falet.
Les photos sont signées Aurélie Prissette.



15:42 Publié dans Pub! | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : suspendus, franck-olivier laferrère, theatre de nesle, héléna soubeyrand, jean-claude falet