25 mars 2016
Tatiana de Rosnay : interview pour Partition amoureuse
(Photo : Denis Félix)
Tatiana de Rosnay est une auteure que j'ai la chance de la connaître un peu, depuis presque 10 ans. Elle m’a accordée beaucoup d’interviews pour ce blog. Même depuis qu’elle vend ses livres dans le monde entier. (Pour la sortie d’Elle s’appelait Sarah, pour une rencontre à la Fnac Val d’Europe à l’occasion de la sortie de Boomerang, pour une émission de télé sur le web, pour une projection privée d’Elle appelait Sarah, pour une rencontre avec des élèves de Provins, pour un Coca Light au soleil pour évoquer la sortie de La mémoire des murs et enfin pour la sortie de son roman A l'encre russe.)
Quelqu’un qui, avec le succès planétaire, reste la même et d'une fidélité exemplaire, c’est suffisamment rare pour être signalé.
A l’occasion de la sortie en poche d’un ancien livre (revu et corrigé), Tatiana de Rosnay a bien voulu répondre à mes questions pour Le magazine des Loisirs Culturels Auchan (daté des mois de février et mars 2016). Ceci est la seule interview pour ce livre et la seule pour 2016. Elle a besoin de retrouver du calme, de passer des moments en famille et d’écrire un nouveau livre. Merci à elle pour son éternelle confiance.
Nous nous sommes vus dans un café parisien le 18 janvier dernier pour évoquer principalement son roman, "véritable inventaire amoureux joué à la manière d’une partition musicale, dans lequel chaque amant tient sa propre cadence".
(Photo : Denis Félix)
La question qui tue. Les ex de Margaux sont-ils inspirés des tiens ?
Aucun des ex de ce livre n’a été le mien… j’ai eu beaucoup de plaisir à les inventer. Je ne voyais pas l’intérêt de mettre les miens dans un bouquin. Je ne te dis pas qu’il n’y a pas des fantasmes qui sont liés à l’époque que je vivais… Je voudrais préciser que ce livre est dédicacé à mon mari… « qui ne sera jamais un ex ».
Selon Margaux, j’ai appris qu’en matière de sexe, « un homme est toujours un pion sur l’échiquier ».
(Elle rit et ne répond pas).
(C’est vexant !)
Changeons de sujet… et de livre. Ta romancière préférée est Daphné du Maurier. Elle est l’héroïne de ton précédent livre, Manderley forever (qui sort en poche très bientôt). Pourquoi estimes-tu que c’est ton livre le plus important, plus encore qu’Elle s’appelait Sarah, qui a été pourtant le livre qui a déclenché ta carrière dans le monde entier ?
Ce livre est le roman d’une vie. Je ne l’ai pas écrit comme une biographie… parce que je ne sais pas écrire une biographie. C’est Daphné du Maurier qui m’a donné envie d’écrire à l’âge de 10 ans. En fait, je porte ce livre en moi depuis plus de 40 ans. Il a suffi qu’un éditeur très malin, Gérard de Cortanze, me poursuive depuis des années pour m’inciter à écrire ce livre. Un jour, il m’a coincé et m’a dit que j’étais la seule à pouvoir écrire un livre sur Daphné du Maurier. Parce que je suis moitié anglaise, que je l’adore, que je la cite dans beaucoup de livres et qu’elle a nourri mon œuvre. Le goût de la mémoire des murs, des fins ouvertes, des secrets, me vient d’elle. J’ai mené une véritable enquête. Je suis partie sur ses traces, j’ai rencontré sa famille…
Il y a beaucoup d’accointances entre vous deux.
Oui, je peux t’en citer pas mal des très banales. On a eu des cheveux blancs très tôt, on aime la couleur bleue, nous sommes franglaises… mais il y a aussi des points communs beaucoup plus profonds. Je ne te dis pas lesquels, il faudra que tu finisses par te décider à lire ce livre.
Pendant l'interview...
Ecrire Manderley Forever était-il un défi ?
Complètement. C’était un challenge intellectuel et littéraire pour moi. Je le répète, ce n’est pas une biographie au sens classique du terme. J’ai écrit à la troisième personne au présent. J’ai voulu que le lecteur découvre la vie de Daphné en même temps qu’elle. Je donne des indices pour que ceux qui me lisent puissent comprendre le puzzle de sa vie.
Les lecteurs ont largement suivi.
Oui… et ce n’était pas gagné. Je dois dire que ce livre m’a donné la reconnaissance littéraire qui me manquait. On avait tendance à me mettre dans les mêmes cases littéraires que les gros vendeurs qu’on ne va pas citer, mais que l’on connait par cœur. On a dit que j’étais une machine à écrire des best-sellers, que mes intrigues étaient rapidement ficelées, qu’il n’y avait pas de réflexion littéraire dans mon œuvre. Depuis que j’ai sorti Manderley forever, je n’entends plus ces commentaires. Ce livre a donné une autre lumière sur mon travail.
Après l'interview, le 18 janvier 2016, dans un café parisien.
17:47 Publié dans Livre, Magazine Auchan | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : tatiana de rosnay, partition amoureuse, livre de poche, interview, mandor
17 avril 2013
Tatiana de Rosnay : interview pour A l'encre russe
Tatiana de Rosnay est l’auteur français le plus lu en Europe et aux États-Unis. Sa belle aventure littéro-planétaire a débuté avec Elle s’appelait Sarah. En 2007, elle devient une star des lettres grâce à ce roman vendu à plus de 9 millions d’exemplaires dans 42 pays. Son douzième roman A l’encre russe a pour origine une mésaventure subie par la romancière elle-même. Dans une très belle mise en abîme, ce livre raconte l’histoire d’un jeune homme, Nicolas Kolt qui, au moment de refaire sa pièce d’identité, découvre la véritable origine de son père mort en mer. À partir de cet événement, il va écrire un roman au succès planétaire. A l’encre russe vaut tant pour son intrigue que pour sa description du milieu littéraire.
J’ai beaucoup d’affection pour Tatiana de Rosnay et cela fait maintenant quelques années que nous nous connaissons. Je l’ai mandorisé de nombreuses fois.
Pour la sortie d’Elle s’appelait Sarah, pour une rencontre à la Fnac Val d’Europe à l’occasion de la sortie de Boomerang, pour une émission de télé sur le web, pour une projection privée d’Elle appelait Sarah, pour une rencontre avec des élèves de Provins et pour un Coca Light au soleil pour évoquer la sortie de La mémoire des murs.
Et, c'est elle qui a eu la gentillesse de préfacer mon livre, Les chroniques de Mandor.
Voici donc notre dernière rencontre. C’était le 19 mars dernier dans un bar situé près de chez elle. Une interview pour Le magazine des loisirs culturels Auchan (daté du mois d’avril-mai 2013)
Le 19 mars dernier dans un bar parisien après l'interview...
22:32 Publié dans Magazine Auchan | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : tatiana de rosnay, à l'encre russe, interview, auchan, mandor
13 février 2011
"Elle s'appelait Sarah" : rencontre avec des élèves de Provins !
Jeudi dernier, dans le cadre du Festival Encres Vives/Salon du Livre, à la demande de David Sottiez, j’ai animé une projection-rencontre autour du roman bestseller de mon amie Tatiana de Rosnay, Elle s’appelait Sarah (éditions Héloïse d'Ormesson) et de son adaptation cinématographique. Cet évènement exceptionnel a permis aux élèves et aux enseignants de Troisième et de Première du Collège-Lycée Sainte-Croix (Provins), d'échanger avec la romancière, Tatiana de Rosnay, la jeune actrice Mélusine Mayance (Sarah dans le film) ainsi qu'avec Arlette Testyler, personne rescapée de la rafle du Vel' d'Hiv' et présidente de l'association Mémoires et Vigilance des Lycéens.
Présentation des forces en présence :
Née en 1961, Tatiana de Rosnay est franco-anglaise. Elle est l’auteur de dix romans. Selon Bookseller, elle a été, en 2009, l'auteur français le plus vendu en Europe.
Elle est aussi l’auteur français le plus lu aux Etats-Unis, où Elle s’appelait Sarah figure depuis plus de deux ans sur la liste des meilleures ventes. Les ventes mondiales de Elle s’appelait Sarah et de Boomerang s’élèvent aujourd’hui à plus de 5 millions d’exemplaires.
Rose, son nouveau roman sort le 3 mars 2011.
C'est à la télévision que la jeune Mélusine débute sa carrière d'actrice, en 2008, dans la série Vive Les Vacances. Mais c'est au cinéma qu'elle se fait remarquer du grand public, en 2009, dans le rôle de Lisa, fille d'Alexandra Lamy et belle-fille de Sergi Lopez, dans le film fantastique de François Ozon, Ricky.
En 2010, le cinéaste Gilles Paquet-Brenner lui offre l'un des rôles principaux, aux côtés de Kristin Scott Thomas, dans le drame Elle S'Appelait Sarah.
La même année, elle rejoint l'actrice Pascale Arbillot au casting du téléfilm Un Soupçon D'Innocence, dans lequel Mélusine interprète une enfant tourmentée.
Mélusine Mayance a 12 ans.
Arlette Testyler est une personne rescapée de la rafle du Vel’ d’Hiv’ (Paris) ainsi que du camp d’internement de Beaune-la-Rolande (Loiret). Elle est présidente de l'association Mémoires et Vigilance des Lycéens.
Arlette Tesyler et Charles, son mari (A 15 ans, un long martyr le mènera successivement et durant 3 années, dans 7 camps de travail, rattachés aux complexes d'Auschwitz et Gross-Rosen), viennent de publier un livre témoignage : Les enfants aussi ! (éditions Delattre, 2010) Préface de Tatiana de Rosnay / Témoignages recueillis et rédigés par François Fouquet.
Voici quelques photos de cette rencontre exceptionnelle. Elles sont signées Marie-Pierre Canapi et Jean-Pierre Mangin.
Marie-Pierre Canapi, professeur de Français de classe de 1ere.
Le déjeuner après cette rencontre riche en émotion...
Remerciements à :
-Tatiana de Rosnay, Mélusine Mayance, Arlette et Charles Testyler pour leur générosité, leur présence solaire et leur "lumière" évidente.
-Marie-Pierre Canapi et Jean-Pierre Mangin pour leurs photos (très belles) et leur gentillesse.
-David Sottiez pour m'avoir permis de vivre ce moment plus important pour moi qu'il peut l'imaginer... (et pour m'offrir sa confiance permanente).
07:58 Publié dans Les coulisses du show biz | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : elle s'appelait sarah, rencontre, tatiana de rosnay, mélusine mayance, arlette testyler, charles testyler, provins, collège lycée sainte-croix
08 septembre 2010
"Elle s'appelait Sarah", le film: Projection privée et interviews
Julia Jarmond, journaliste américaine installée en France depuis 20 ans, enquête sur l'épisode douloureux du Vel d'Hiv.
En remontant les faits, son chemin croise celui de Sarah, une petite fille qui avait 10 ans en juillet 1942.
Ce qui n'était que le sujet d'un article devient alors, pour Julia, un enjeu personnel, dévoilant un mystère familial.
Comment deux destins, à 60 ans de distance, vont-ils se mêler pour révéler un secret qui bouleversera à jamais la vie de Julia et de ses proches ?
La vérité issue du passé a parfois un prix dans le présent...
Julia : l'éblouissante Kristin Scott-Thomas.
Vous êtes nombreux à avoir lu le livre de Tatiana de Rosnay : « Elle s’appelait Sarah », livre vendu à plus de 2 millions d’exemplaires (voir la vidéo de « 1000 feuilles » avec l’auteur) et qui a fait de Tatiana de Rosnay l’auteur français la plus lu en Europe (autre rencontre là). C’est un roman qui touche au cœur et qui a fait beaucoup pour le devoir de mémoire.
(Personnellement, j’avais expliqué, lors de ma toute première rencontre avec elle, pourquoi ce livre était important dans ma vie).
Le 13 octobre prochain, « Elle s’appelait Sarah » sort dans sa version filmée. Un film de Gilles Paquet-Brenner avec Kristin Scott-Thomas, Mélusine Mayance, Niels Arestrup, Frédéric Pierrot.
Adaptation fidèle du roman. De l’émotion tout en finesse, pas d’esbroufe, des comédiens hors pair. J’avais peur d’être déçu.
Je ne l’ai pas été.
Sarah : la phénoménale Mélusine Mayance.
Les Éditions Héloïse d’Ormesson ont invité lundi une cinquantaine de personnes pour une projection privée…
Avant la projection, Tatiana de Rosnay (l’auteur), Héloïse d’Ormesson et Gilles Cohen Solal (les éditeurs) ont expliqué avec humour l’histoire magique du livre et de son succès fulgurant, puis ont remercié le public présent.
Après la projection, un cocktail a été organisé… Mandor en a profité pour interroger 3 personnes.
Interviews flash de Tatiana de Rosnay, sa fille Charlotte Jolly et Héloïse d’Ormesson.
Tatiana de Rosnay :
Mandor : Tu sors de la projection. Je sais que ce n’est pas la première fois que tu vois ce film.
Tatiana de Rosnay : C’est la troisième fois et à chaque fois c’est énormément d’émotion. Là, je l’ai vu assise à côté de ma fille Charlotte. Elle était en larmes. A chaque fois que je vois ce film, je suis bouleversée, tout remonte.
M : Tu ne t’es jamais sentie trahie dans cette adaptation ?
TdR : Jamais. Pas un moment. Ce sont mes personnages, c’est ma Sarah, c’est ma Julia. Tout est là.
Tatiana de Rosnay et la comédienne qui incarne Sarah, Mélusine Mayance
M : Je me souviens que lorsque je t’ai interviewé pour la sortie du livre, nous parlions d’une éventuelle adaptation au cinéma, à l’époque, absolument pas d’actualité. Tu me disais que s’il y en avait une, tu aurais bien vu Kristin Scott Thomas dans le rôle de Julia…C’est fou, ça !
TdR : Il y a une magie autour du livre. Cela dit, j’ai quand même galéré trois ans pour le faire publier. Je n’y croyais plus. J’ai écrit ce livre entre 2002 et 2005. C’est Héloïse d’Ormesson et Gilles Cohen-Solal qui ont miraculeusement cru en moi à un moment où j’étais persuadée que ça n’allait jamais se faire. Pour moi, c’est une aventure humaine très riche et passionnante.
M : Ressens-tu de la fierté à voir ton nom au générique de ce film ?
TdR : Non, je ressens une incrédulité totale. J’ai l’impression que je vais me réveiller demain en ayant rêvé. J’essaye de savourer tout ce qui m’arrive, mais j’ai du mal.
Charlotte Jolly de Rosnay (fille de Tatiana):
Mandor : Alors, ce film tiré du livre de ta maman?
Charlotte Jolly de Rosnay : Je l’ai regardé avec un sentiment de fierté du travail de ma mère. Dans le film il n’y a pas de « trop », c’est sobre et émouvant. Moi, j’avais commencé à lire le livre et comme je suis très très sensible, j’ai eu du mal à le continuer. Maintenant, ça me donne envie de finir le livre et d’être encore plus fière de ma mère. Ça m’a tellement remuée que là, vraiment, je suis complètement…
Elle ne termine pas sa phrase.
M : Ta mère m’a dit que tu avais pleuré.
CJdR : J’ai pleuré plein de fois pendant la projection. Je tenais très fort la main de ma mère. Je n’oublierai jamais ce moment.
Héloïse d'Ormesson, Tatiana de Rosnay et sa fille Charlotte Jolly après la projection.
M : Ce film t’a-t-il renvoyée à des choses personnelles avec ta maman ?
CJdR : Je me suis rappelée au début, quand ma mère était malheureuse parce que personne ne voulait de son livre. Il y a eu beaucoup de moments de tristesse avant qu’ « Elle s’appelait Sarah » ne soit publiée. Le fait que maintenant tout se réalise pour elle, ça me rend la plus heureuse des filles.
M : Comment tu vis sa nouvelle notoriété ?
CJdR : Je suis vraiment très très fière d’elle. En plus, elle n’a pas changé. Elle n’a pas du tout un caractère à avoir la grosse tête. Elle sait parfaitement gérer sa nouvelle célébrité, ce qui me rend encore plus fière d’elle.
M : Ça te donne envie d’être écrivain également ?
CJdR : J’aimerai bien avoir son talent. Moi aussi j’aime beaucoup écrire et lire et je dois avouer que ma mère est un bel exemple à suivre.
Héloïse d’Ormesson :
Mandor : C’est la seconde fois que vous voyez le film. Vous en ressortez comment ?
Héloïse d’Ormesson : Cette fois-ci, je n’avais pas de mouchoirs et ça m’a beaucoup manqué. C’est un film merveilleux, on est vraiment transporté. J’ai trouvé que c’était une adaptation extraordinaire, très fidèle. Mais une adaptation fidèle doit aussi se réapproprier le texte pour le bien du film. Il faut gommer certaines choses, en gommer d’autres. Tout le travail d’adaptation, c’est quand même de transformer un roman en un film réussi. Il y a des petits aménagements, mais qui sont pour le meilleur du scénario et pour une transposition à l’écran. C’est bizarre, les émotions du livre et du film ne viennent pas des mêmes scènes…
M: Est-ce que l’éditrice à son mot à dire pour une adaptation ?
Hd’O : L’éditrice n’a strictement rien à dire, éventuellement l’auteur pourrait mettre son grain de sel. Quand on en parlait avec Tatiana, elle me disait qu’elle ne voulait surtout pas interférer. Je l’ai d’ailleurs encouragé dans ce sens en lui disant que ce n’est jamais très bon pour l’auteur qui risquerait de se crisper et de ne pas comprendre certains choix. Il faut éviter les frictions inutiles et faire confiance aux adaptateurs. C’est un peu comme l’auteur qui doit faire confiance à son éditeur, là l’éditeur et l’auteur doivent faire confiance au réalisateur et au scénariste. C’est ce qu’on a fait et on ne le regrette absolument pas.
M : Avec le recul, l’histoire du livre en lui-même est belle, non ?
Hd’O : Il doit y avoir un ange gardien, une étoile quelque part qui veillent sur cette Sarah sur toutes ses formes. Cette étoile est extrêmement protectrice. Je dois signaler que Tatiana de Rosnay a été associée au lancement et à la promotion du film et c’est très rare. L’histoire autour de Sarah est folle. Ce livre, d’un seul coup, à transformé la vie de ses lecteurs, de son auteur et de son éditeur. C’est ça un beau livre…
Pour finir, la bande annonce du film :
10:30 Publié dans Les coulisses du show biz | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : elle s'appelait sarah, le film, interviews, tatiana de rosnay, charlotte de rosnay, héloïse d'ormesson
12 avril 2010
"Mille feuilles"... la deuxième : Tatiana de Rosnay

"Mille feuilles", qu'est-ce que c'est?
Un concept simple : un auteur, un journaliste et 10 minutes pour vous donner envie de lire le roman de l’invité. La nouveauté, c’est le ton. Naturel, curieux et souriant. Mon ambition est de rendre toutes les formes et genres littéraires à la portée de tous.
La deuxième invitée : Tatiana de Rosnay pour la sortie conjointe de son roman « Le voisin » (éditions Héloïse d’Ormesson) et de « Boomerang » au Livre de Poche.
Tatiana de Rosnay est l'écrivain français le plus lu en Europe.

Au Top 50 2009 des auteurs européens, elle est classée en 8e position devant Anna Gavalda, Marc Lévy, Guillaume Musso et Muriel Barbery.
Son œuvre majeure, « Elle s'appelait Sarah » (éditions Héloïse d'Ormesson), est traduite dans plus de 30 pays, vendue à plus de deux millions d’exemplaires et fera l'objet d'une adaptation cinématographique fin 2010. Un million d’américains l’ont déjà lu.
Bande annonce…
Tatiana de Rosnay le 12 avril dans " Mille Feuilles"...
envoyé par Canal2VTV. - L'info internationale vidéo.
Voici le deuxième "Mille Feuilles" à déguster!
Tatiana de Rosnay sur Canal2VTV.fr - "Mille Feuilles" - N°2
envoyé par Canal2VTV. - L'actualité du moment en vidéo.
Je remercie Tatiana de Rosnay pour sa gentillesse constante et son amitié 1000 fois prouvée, les éditions Héloïse d'Ormesson pour toujours me faciliter le travail, ainsi que la librairie "L'escale Littéraire" (120, boulevard du Montparnasse, Paris 14e) pour le prêt du lieu d'enregistrement.
21:53 Publié dans Mille Feuilles | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : tatiana de rosnay, mille feuilles, le voisin, boomerang, canal2vtv, les chroniques de mandor
23 avril 2009
Tatiana de Rosnay et Abha Dawesar à la FNAC Val d'Europe: portfolio.

Samedi dernier (le 18 avril), 77FM a proposé une rencontre/dédicace (que j'ai présenté) avec Tatiana de Rosnay et Abha Dawesar à la FNAC Val d’Europe.
Ces deux auteur(e)s ont d'ailleurs déjà été mandorisées: Tatiana de Rosnay ici et là et Abha Dawesar, juste ici.
L’une et l’autre sont des auteur(e)s connues dans le monde entier.
Tatiana de Rosnay, après les 45 minutes d'interview, a dédicacé son dernier ouvrage Boomerang ainsi que La mémoire des murs et elle s’appelait Sarah.
Quant à Abha Dawesar, elle, a signé Babyji et Dernier Eté à Paris.
Il y a quelques jours, Tatiana de Rosnay avait répondu à quelques questions téléphoniques de moi même sur sa venue à la Fnac Val d'Europe.
Je vous livre quelques photos de cette après-midi amicalo-littéraire.

Cette auteur(e) franco-anglaise a connu un succès rarement atteint, il y a deux ans avec la sortie de son livre Elle s’appelait Sarah, vendu à un million d’exemplaires dans le monde, traduit dans 30 pays et porté à l’écran l’année prochaine.





22:17 Publié dans 77FM | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : tatiana de rosnay, abha dawesar, fnac val d'europe