21 juin 2015
Bilan du Salon du Livre de Provins 2015
Les 11 et 12 avril dernier, j'ai animé pour la 6e fois consécutive, le Salon du livre de Provins. Ici la première (avec l'invitée d'honneur Simone Veil), là, la deuxième (avec l'invité d’honneur Michel Drucker), enfin la troisième (avec les invités d'honneur Albert Jacquard et Pierre Bellemare), la quatrième (avec les invités d’honneur, Patrick Poivre d’Arvor et Stéphane Bourgouin) et la cinquième (avec les invités d’honneur, Michel Field et le très regretté Cabu).
Habituellement, je passe de table en table pour interviewer une centaine d'auteurs en deux jours...
Je le répétais chaque année:
"Le contact avec des auteurs rencontrés sur l’instant et dont il faut tenter de tirer des informations essentielles, quasiment à la chaîne, rentrer dans des univers différents en faisant semblant de connaître l’œuvre des personnes interrogées, en les mettant en avant, en tentant de comprendre leur fonctionnement, c’est un loisir auquel je m’adonne avec un plaisir fou. Même si, je le sais parfaitement superficiel (je n’abhorre rien de plus que d’interroger un écrivain sans avoir lu son livre). Mais ce que j’apprécie, dans ce cas de figure, c’est la performance. L’exercice de style. Le combat. Ce n’est pas désagréable, juste exténuant à l'issue du deuxième jour."
Mais cette année, David Sottiez (de l’association Encres Vives) m’a proposé une nouvelle formule. Organiser et animer des cafés littéraires d’une demi-heure chacun pendant les deux jours. Ainsi fut fait… et j’ai beaucoup aimé. A récidiver, donc.
Je remercie ici Jean-Pierre Mangin qui a shooté à tout va pendant ce week-end et m’a suivi dans (quasiment) toutes mes pérégrinations « interviewgatives ».
Pour les photos, merci aussi à Luc Doyelle, Cicéron Angledroit et Sophie Adriansen… à qui j’ai allégrement volé des clichés sur leurs pages Facebook respectives. Qu’ils en soient remerciés (et qu’ils ne m’intentent pas de procès).
Évidemment, je tiens aussi à exprimer toute ma gratitude à l'ensemble de l'association Encres Vives qui me fint confiance depuis six ans. Je suis très sensible à cette fidélité sans failles.
Premier jour : 11 avril 2015.
Marion Game (la fameuse Huguette dans la série d'M6, Scènes de ménages). Une fois de plus, nous constatons que les personnalités du petit écran signent beaucoup plus que de vrais écrivains. C'est anormal et désolant, mais c'est comme ça. Ce qui est plaisant, c'est que, souvent, ces "auteurs" savent bien qu'ils n'ont pas une grande légitimité à être là. La sympathique comédienne me l'a confié, en tout cas.
Allez, viens là mon Huguette!
Ce que j'aime dans ce salon, c'est qu'il y a souvent foule.
Premier café littéraire : Kaoutar Harchi pour A l’origine notre père obscur (Actes Sud). (Mandorisées là, deux fois). J'ai beaucoup d'admiration pour cette auteure de talent.
Une publicité discrète s'est glissée sur cette photo. Sachez la retrouver!
Le maire de Provins, Christian Jacob avec Jean-Patrick Sottiez, l'un des éminents membres de l’association organisatrice de ce salon, Encres Vives.
Le maire avec "le prêtre des loubards", le père Guy Gilbert.
*
Quelques questions au père Guy Gilbert. Le micro, je vous garantis qu'il ne faut pas le lâcher, sinon, impossible d'en placer une... :) Je l'ai beaucoup "pratiqué" à la fin des années 90, quand je travaillais à Radio Notre Dame.
Non père, tu me laisses le micro!
Deuxième café littéraire : Wilfried N’Sondé pour Berlinoise (Actes Sud). Je ne l'avais jamais rencontré. Passionné et passionnant!
Sophie Adriansen (mandorisées maintes fois).
Domitille de Pressensé, la "maman" d'Émilie, une série que toutes les filles ont connu dans leur jeunesse.
Le chanteur Merlot était présent pour un spectacle destiné au jeune public : Au fond de la classe.
Troisième café littéraire : Pauline Dreyfus pour Ce sont des choses qui arrivent (Grasset).
Comme presque chaque année, Geronimo Stilton vient à Provins...
Et il a toujours beaucoup de monde devant son stand.
Et chaque année, photo traditionnelle avec l'animateur.
Et photo traditionnelle avec Sophie Adriansen...
La parrain du salon du livre de Provins de cette année, Yann Queféllec, lui aussi est venu papoter avec la gentille souris.
Interview de Yann Queffélec (un des premiers mandorisés... en 2006, quand je cachais encore mon visage).
Queffélec sur le départ... Ici avec Jean-Patrick Sottiez.
Jean-Patrick Sottiez, de l’association organisatrice de ce salon, Encres Vives.
Quatrième café littéraire : Carmen Bramly pour Hard de vivre (JC Lattès).
Au rayon polar, Claire Favan et Christelle Mercier.
Puisque nous sommes au rayon polar, restons-y. Nous nous sommes adonnés à quelques selfies plus ou moins réussies. En haut, de gauche à droite : Stanislas Petrosky, Alain Claret et David Moitet. En bas, de gauche à droite : Sandra Martineau (mandorisée là) Christelle Mercier, Claire Favan, Mandor et Johann Etienne.
Les mêmes, avec en plus, en haut à gauche, Maxime Gillio.
Toujours les mêmes, dans une autre configuration, avec en plus, Gaëlle Perrin (mandorisée là).
2e jour : 12 avril 2015.
Gaëlle Perrin montre du doigt (pas bien!) Patrice Dard. Le fils de Frédéric Dard a repris l’œuvre de son père, San Antonio.
Entre les livres de son père et les siens... une œuvre colossale.
Je n'ai jamais lu un San Antonio de ma vie. Ce qui, visiblement, ne semble pas heurter Patrice Dard.
Frédéric Dard était là aussi, hein, c'est sûr... la lumière qui descend du ciel, toussa, toussa.
(Merci à Christelle Mercier pour cette série de photos Dardiennes.)
L'écrivain Maxime Gillio (vice-président de l'Association des Amis de San Antonio) a animé un débat avec Patrice Dard.
Interview de Maxime Gillio...
Cinquième café littéraire : Bertrand Guillot pour Sous les couvertures (Rue Fromentin). (Quelques mandorisations de cet auteur de talent.)
Interview à la cool, quoi!
Petite pause avec Sandra Reinflet, Sophie Adriansen, Carole Zalberg et Bertrand Guillot.
Sixième café littéraire : Carole Zalberg pour Feu pour feu (Actes Sud). (Elle aussi a été mandorisée maintes fois).
François Alquier by Sophie Adriansen. Joie de vivre et compagnie.
Luc-Michel Fouassier (mandorisé à tout va).
Sophie Adriansen.
Septième et dernier café littéraire : Claire Fercak pour Histoires naturelles de l’oubli (Verticales).
20:52 Publié dans Les coulisses du show biz, Livre | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : salon du livre de provins, 2015, marion game, père guy gilbert, yann queffélec
30 avril 2012
Bilan du Salon du livre de Provins 2012 !
Les 10 et 11 mars dernier, j’ai animé le Salon du Livre de Provins. C’était la troisième fois consécutive. Ici la première (avec l'invitée d'honneur Simone Veil) et là, la deuxième (avec l'invité d"honneur Michel Drucker).
Une centaine d'auteurs interviewée en deux jours...
Le contact avec des auteurs rencontrés sur l’instant et dont il faut tenter de retirer des informations essentielles, quasiment à la chaîne, rentrer dans des univers différents en faisant semblant de connaître l’œuvre des personnes interrogées, en les mettant en avant, en tentant de comprendre leur fonctionnement, c’est un loisir auquel je m’adonne avec un plaisir fou. Même si, je le sais parfaitement superficiel (je n’abhorre rien de plus que d’interroger un écrivain sans avoir lu son livre). Mais ce que j’apprécie, dans ce cas de figure, c’est la performance. L’exercice de style. Le combat. Ce n’est pas désagréable, juste exténuant à l'issue du deuxième jour.
Je remercie ici Jean-Pierre Mangin qui a shooté à tout va pendant ce week-end et m’a suivi dans quasiment toutes mes pérégrinations « interviewgatives ». Le photographe m’a fait parvenir une clé USB avec 300 photos. J’ai eu du mal à en sélectionner.
En tout, en voici 77…ça tombe bien nous étions en Seine-et-Marne.
Portfolio du 1er jour : samedi 10 mars 2012.
Christian Jacob (maire de Provins) et Pierre Bellemare.
Jean-Patrick Sottiez (maire de Soisy-Bouy) et Christian Jacob (maire de Provins).
André Bercoff et Jean-Louis Debré.
André Bercoff.
La foule...
Sandra Martineau et Gaëlle Perrin.
Sylvick et Fanny Etienne Artur.
Charlotte Bousquet et Samantha Bailly.
Samantha Bailly.
Jean-Patrick Sottiez (de l'association Encre Vives qui organise le salon) fait le bilan de la première journée...
Puis les auteurs ont été conviés à une petite (mais délicieuse collation)...
Portfolio du 2e jour : dimanche 11 mars 2012.
Dominique Dimey et Albert Jacquard.
Mathieu Simonet et Marie Sizun.
Fabien Hérisson (qui a organisé l'espace consacré au polar).
Sophie Adriansen, Valérie Bettencourt, Laurent Luna.
Roumette.
Une des bibliothécaires de Provins.
Jean-Patrick Sottiez (de l'association Encre Vives qui organise le salon) fait le bilan de la deuxième journée...
22:06 Publié dans Les coulisses du show biz | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : salon du livre de provins, bilan, 2012
13 mars 2011
Bilan du Salon du livre de Provins 2011!
Une semaine après le week-end du Salon du livre de Provins (dans le cadre du Festival Encres Vives), voici un port-folio agrémenté de commentaires... comme je l'avais fait l'année dernière pour la version 2010 de cette grande manifestation littéraire.
Cette année était pour moi un peu particulière car, si j'ai animé ces deux jours (avec la participation de Fred Ricou pour des tables rondes consacrées à la littérature jeunesse et Fabien Hérisson pour des tables rondes sur la littérature policière), je suis également venu comme auteur de mon livre Les chroniques de Mandor...
Dire que je passe de l'animateur à l'auteur avec une parfaite aisance n'est pas le reflet de la réalité.
Commençons avec Michel Drucker, qui était cette année le parrain de ce salon. Ca m'a fait plaisir de le rencontrer et de l'interviewer. Quand on fait le métier que je fais, on ne peut être qu'impressionné par ce que représente cet homme-là.
Je vous l'avoue, Michel Drucker est reparti avec mon livre.
(oui, je sais...)
L'arrivée de l'animateur de Vivement Dimanche... Laissez passer!
Un livre s'est caché subrepticement sur la photo. Découvrez-le!
L'intervieweur interviewé...
Photo souvenir...
Après l'effort, le réconfort...
La séance de dédicaces.
Comme chanque année, visite (et interview) de Christian Jacob, maire de Provins et président du groupe UMP à l'Assemblée nationale.
Loïc Jacob (édition Hong Fei)
On s'éclate au Salon du livre de Provins... devant Daniel Henocq.
Daniel Henocq pour son premier livre, Le joueur de cartes (dont je parlerai ici-même très vite!).
Laura Mare, mon éditrice et Stéphane Nolhart, mon comparse es-littérature (et néanmoins ami depuis quelques années maintenant) qui a sorti son Blackbook le même jour que Les chroniques de Mandor.
Animer devant son éditrice, Laura Mare.
Curieux mélange des genres...
Je ne remercie pas Stéphane Nolhart pour son petit mot ajouté.
Tsss...
Petite pause pour signer mon livre...
De futures lectrices...
En fait, Stéphane Nolhart, c'est un pote/collègue/talentueux auteur/nègre...
Encore un. Studieux, dans ce rôle là...
L'ami Jérôme Cayla et Stéphane Nolhart...
"Quel est votre prénom?"
Trouver un truc original à écrire. A chaque fois, la pression...
Avec Jérôme Attal.
Il figure dans mon livre en tant que "mandorisé" et aussi en tant qu'auteur du superbe avant-propos.
Je ne le remercierai jamais assez. Voilà un homme qui a compris le travail que je fais depuis des années. C'est en lisant ce qu'il a écrit dans Les chroniques de Mandor, que j'ai moi-même compris ce que je "trafique" depuis des années avec les artistes... c'est dire.
Trois amis de la même maison d'édition que la mienne: de gauche à droite, Luc Doyelle, Marie-Laure Bigand et Jérôme Cayla.
Laurent Luna... j'ai enfin son livre De l'autre côté.
Valérie Bettencourt, que finalement, je n'ai fait que croiser. Comme ce fut le cas pour tous les auteurs/amis présents... pas le temps de trop copiner.
Avec Mabrouck Rachedi, auteur et blogueur engagé (et drôle, souvent).
Animer devant ses livres... est-ce bien raisonnable?
Une table ronde animée par Fred Ricou...
Usual Suspects (version 2011) avec, de gauche à droite:
Laurent Luna, Stéphane Nolhart, François Alquier et Luc Doyelle.
(Pas bientôt, sur vos écrans!)
Le pot du samedi soir... Elisabeth Mozzanini, Daniel Henocq et Fred Ricou. Derrière, Stéphane Nolhart et un inconnu.
Après la première journée... détente avec Marie-Laure Bigand, à l'hôtel.
Avec Marie-Laure Bigand et Elisabeth Mozzanini, à l'hôtel, toujours. Voyons les clichés du jour...
Je sais... bien entouré!
Devant le stand des Editions Volpilière avec Bernard Thépénier.
Deuxième séance de signature...
On y prend goût (finalement)!
Avec Jérôme Cayla et mon amie Ingrid Desjours...
Un livre et un micro... j'adore le symbole!
Avec l'illustratrice, Agata Kawa.
Stand Hong Fei.
Avec mon ami et maintes fois mandorisés, Frédéric Mars...
Mais que lisent Elisabeth Robert Mozzanini et Frédéric Mars?
Interview exclusive pour CNN International... par une journaliste de choc: Elisabeth Robert Mozzanini.
L'ex-comédienne et désormais auteur(e): Evelyne Dress.
Ingrid Desjours, signant à tour de bras.
Un salon bien rempli!
Deux tables rondes, de mon désormais nouvel ami, Fabien Hérisson.
Merci à Elisabeth Robert mozzanini, Franck Mozzanini, Marie-Pierre Canapi, Jean-Pierre Mangin, Jérôme Cayla, Luc Doyelle Luc-Michel Fouassier et Loïck Jacob pour les photos.
Et merci à David Sottiez de m'avoir fait confiance pour la deuxième année consécutive.
10:18 Publié dans Les chroniques de Mandor... le livre | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : salon du livre de provins, 2011, photos
21 février 2010
Bilan du Salon du Livre de Provins!

« Le contact avec des gens rencontrés sur l’instant et dont il faut tenter de retirer des informations essentielles, quasiment à la chaîne. Rentrer dans des univers différents en faisant semblant de connaître l’œuvre des auteurs interrogés, en les mettant en avant, en tentant de comprendre leur fonctionnement, c’est un loisir auquel je m’adonne avec un plaisir fou. Même si, je le sais parfaitement superficiel. Je n’abhorre rien de plus que d’interroger un écrivain sans avoir lu son livre. Et pourtant, hier, je n’ai cessé d’être en mode apparence. Parce qu’un animateur, dans ce cas de figure professionnel, ne peut faire autrement. Et ce n’est pas si désagréable. »
C’est ce que j’ai écrit le 22 novembre dernier pour évoquer le Salon du Livre d’Ozoir-la-Ferrière que j’ai animé toute une après-midi (voir ma note là et notez au passage que j’adore m’autociter, cas rare de mégalomanie galopante !).
La semaine dernière, c’était celui de Provins que l’association « Encres Vive »s m’a proposé d’animer. Je ne retire donc aucun mot de ce que j'écrivais il y a 3 mois.
Cette fois-ci, deux jours complets d’animation. Non-stop.
Il y avait du beau monde et beaucoup d’activités annexes… comme en témoignage « Le Pays Briard » du vendredi 12 février.
Je ne suis pas peu fier d’avoir participé à cette manifestation littéraire.
Il est question dans l’article ci-dessus du Salon de Soisy-Bouy. L’année dernière déjà, le président d’Encres Vives, David Sottiez, m’avait contacté pour en être l’animateur. Je ne sais pas pourquoi, j’avais un peu compris de travers et j’avais décliné l’offre. Par l’entremise d’ami(e)s commun(e)s, Élisabeth Robert et Luc Doyelle, David a récidivé.
Et bon sang, que je ne le regrette pas !
Difficile de comptabiliser les mini interviews réalisés... une centaine, peut-être.
Ces deux jours furent admirablement organisés. Tous les auteurs, éditeurs, illustrateurs… rencontrés étaient impressionnés par l’accueil, la fréquentation du salon (plus de 3000 personnes) et l’organisation sans failles de l’évènement.
Je remercie donc officiellement l’association « Encres Vives » et les Sottiez père et fils qui étaient mes principaux interlocuteurs durant ces deux jours.
Et je vous propose, (comme Mandor à coutume de le faire), un petit port-folio commenté du week-end dernier à Provins.
Le samedi 13 février:













Interview d'Edith.






![Salon_du_livre_de_Provins_2010_006[1].jpg](http://www.mandor.fr/media/01/01/374823004.jpg)






Cette note est susceptible d'évoluer en fonction des photos que l'auteur de ce blog recevra ou puisera encore chez les autres sans demander.
Il n'est pas interdit de penser qu'elle (cette note) évolue de manière stupéfiante, avec l'ajout de lien sur les noms de famille sus mentionnés ou la possibilité de la voir en 3D.
Il faut vivre avec son temps.
Pour les lunettes... prenez vos Ray Ban, on ne sait jamais, ça peut marcher (mais, je n'en suis pas tout à fait certain!)
Mandor vous remercie cependant de votre passage ici.
Amen!
15:35 Publié dans Les coulisses du show biz | Lien permanent | Commentaires (11) | Tags : salon du livre de provins, bilan, association "encres vives", françois alquier