28 septembre 2011
Mort de Cizia Ziké... l'hommage!
![cizia-101[1].jpg](http://www.mandor.fr/media/00/02/1326745459.jpg)
"L'écrivain et aventurier français Cizia Zykë, qui avait connu le succès dans les années 1980 avec son roman "Oro", sur ses périples de chercheur d'or, est décédé mardi à Bordeaux à l'âge de 62 ans, au terme d'une vie mouvementée, a annoncé son frère Jean-Claude à l'AFP."
Merde! Les boules.
Ceux qui me connaissent savent que j'aimais ce type-là (que tout le monde n'aimait pas). Il fuyait les médias, mais acceptait pourtant toujours de me voir (même avec un micro).
Je republie donc ma dernière mandorisation.
Elle date du 9 juillet 2009.
C’était un soir du mois dernier. J’avais rendez-vous dans un hôtel parisien avec l’aventurier de mon enfance.
Il pleuvait à torrent.
J’arrive trempé de la tête au pied. Une allure de chien errant.
Je m’ébroue devant l’entrée de l’hôtel, mais me retiens de faire pipi sur le mur.
Personne à la réception. Pendant 10 minutes. Je cherche partout. Aucune âme qui vive.
Ça y est, je suis en retard.
15 minutes plus tard, je vois un type souriant qui arrive tranquillement.
-Ça fait 30 minutes que j’attends ! (Quand je suis en colère, j’exagère toujours un peu.)
-Excusez-moi monsieur, je ne vous avais pas entendu.
C’est un peu normal, il n’était pas là.
Bref, je la fais courte (Waldheim).
Je lui demande de prévenir mon héros que je suis là (et las).
5 minutes plus tard, il descend.
Pas seul.
Avec un jeune homme de 36 ans, au visage avenant.
Cizia ne me le présente pas encore.
On parle météo, puis décidons d’aller nous sustenter dans une brasserie du coin, spécialisée dans les poissons.
À notre menu : sole grillée, lotte, pavé de thon purée, avec une modeste bouteille de blanc.
(J’ai le sens de la précision…)
Cizia Zikë me présente son camarade.
Karim Djelouah, 36 ans.
"Le Karim ?", je demande.
Oui, LE.
Karim est un des héros de l’ultime livre de Cizia Zikë. Monsieur Catastrophe et monsieur Pad’chance réunis.
Très curieuse la sensation de diner avec deux personnes dont on vient de lire les aventures.
Pour ceux qui ne le savent pas, Cizia Zikë, pour beaucoup (confrérie dont j’appartiens) est une légende vivante. Le dernier aventurier des Temps modernes.
C’est la deuxième fois que je le mandorise.
La première fois, ça avait fait toute une histoire...
Je n’ai jamais compris pourquoi il acceptait de me rencontrer. Il ne parle jamais (où extrêmement rarement) aux journalistes.
Pas sa tasse de thé.
Avec lui, le facteur humain compte.
Il ne fait pas ce qu’il ne sent pas.
Je crois qu’il a perçu en moi une sincérité et une bienveillance à son égard.
Le fait est que nous sommes réunis pour évoquer Oro and Co. Il y raconte dans les premières pages son aventure éditoriale, puis très vite, sa dernière aventure dans la jungle amazonienne. Au Surinam et en Guyane française.
Au début, Cizia veut bâtir une ville au bord du fleuve, puis il devient trafiquant d’or pour pénétrer le monde des garimpeiros, les orpailleurs clandestins brésiliens qui pillent l’or de la Guyane française.
Voici un podcast de 4 minutes enregistré ce soir de pluie et de poissons.
Il vous permettra d’en savoir plus.
Et d'autres questions venues glanées ici et là, pendant le repas.
-Votre réputation sulfureuse, vous arrange-t-elle dans vos nouvelles aventures ?
-Non, pas du tout. Elle me dérange. Ma réputation a démarré avec la question de Pivot, en 1984, quand je suis allé présenter Oro (voir à la toute fin de la note). Il m’a demandé si j’avais déjà tué. C’est le genre de question à laquelle il est impossible de répondre. Si je dis la vérité, que je n’ai jamais tué quiconque et que je préfère préserver la vie humaine, ça ne marche pas. Pour beaucoup, je n’ai pas pu aller dans tous les coins chauds de la terre pour y faire du bizness sans avoir du sang sur les mains. J’aurais eu à me disculper ou à me justifier, j’ai donc toujours éludé la réponse.
-Que pensez-vous de votre lectorat ?
-Du bien évidemment. Là aussi, on fantasme sur mes lecteurs. J’ai lu maintes fois qu’ils étaient constitués uniquement de fachos, de gens d’extrême droite, de fascistes… il y en a, je le sais bien, mais ce n’est pas tout mon lectorat. Vous, je sais que vous me lisez depuis des années, vous n’êtes pas comme ça je suppose ? Il y a beaucoup de femmes qui me lisent, mais aussi des jeunes en quête d’aventures, de dépaysement et de liberté… Ce sont, d’ailleurs, souvent les parents qui ont donné mes livres à leurs enfants. Je vends la liberté et la liberté ne devient pas obsolète, ni le désir d’entreprendre, soit dit en passant. Ma légende est parfois lourde à porter, mais il n’y a rien que je puisse faire pour la mettre en miette.
-Quels sont les inconvénients liés à la réputation qui colle à votre peau ?
En Guyane, par exemple, quand je me suis fais arrêter, je savais que j’étais dans l’illégal depuis le début, mais c’était pour effectuer une enquête. Et quand on effectue un travail de journaliste d’investigation, tous les moyens sont bons, n’est-ce pas ? Comme on me prête encore l’image d’aventurier, le juge d’instruction a été choqué que je puisse être un enquêteur. Alors que j’ai déjà enquêté sur la drogue à Amsterdam par exemple… mais qui que ce soit que je rencontre représentant la justice préfère ne voir de moi que le côté malfrat. Du coup, ce juge m’a interdit de fréquenter la moitié de la Guyane, et évidemment, la partie la plus intéressante pour mon enquête. Je vais donc retourner à Cayenne pour aller négocier le droit d’aller partout. Je ne lâche jamais vous savez.
Pourquoi avoir signé chez Fleuve Noir ?
J’étais en guerre contre tous les éditeurs parisiens, comme je l’explique dans mon livre. Depuis mon premier roman, j’ai eu des relations bizarres avec ces gens-là. Je me suis heurté au manque de respect et à l’hypocrisie. J’ai fait entre 10 et 12 maisons d’édition. Chez Fleuve Noir, les gens ont l’air honnête…
Je remercie d’ailleurs ici Estelle Revelant, l’attachée de presse de Fleuve Noir, (que je connais un peu) et qui m’a organisé cette rencontre rapidement et impeccablement.
Voici, pour finir, mon article paru dans le Culturissimo du mois de juin qui vient de sortir (et trouvable dans les espaces culturels Leclerc).
![OroPocket[1].jpg](http://www.mandor.fr/media/01/01/1646027657.jpg)
15:27 Publié dans Les coulisses du show biz | Lien permanent | Commentaires (212) | Tags : cizia zykë, oro and co, interview, podcast, culturissimo
26 mars 2010
Damien Saez... interview!
Damien Saez sort son nouvel album le 29 mars prochain… je l’ai rencontré dans sa maison de disque Cinq7, le 4 mars dernier.
Le magazine Addiction, pour lequel j’écris les pages « Musique » a décidé de mettre en couverture la photo de la pochette du disque…
Je vous propose la version publiée, puis le podcast de l’interview du rockeur souvent décrié.
Voici la version « écoutable »… le podcast en 6 parties :
Première partie :
-Victoires de la Musique 2009.
-"Jaccuse", son album le plus incisif.
-Des thèmes récurrents, mais pas répétitifs.
-"La société, c'est pas Dieu".
-Damien Saez, un homme libre et ce que ça implique.
Sixième partie:
-Damien Saez, un incompris?
-"Le travail avant l'homme..."
-La promo?
Voici à présent le clip de "J'accuse" réalisé par un fan... à tel point que la maison de disque hésite à en faire un elle-même.
DAMIEN SAEZ VICTOIRES DE LA MUSIQUE 2009
envoyé par saez-godblesse.
06:57 | Lien permanent | Commentaires (8) | Tags : damien saez, j'accuse, interview, addiction le mag, podcast
20 mars 2010
L'Herbe Folle en interview!

Voici ma dernière note sur des invités reçus à 77FM.
J’ai pris un peu de temps avant d’écrire cette note, car j’ai entamé une nouvelle vie professionnelle depuis et je n’ai guère eu le temps d’écrire des notes « travaillées ».
Aussi, aujourd’hui, je le prends.
Le temps.
Car « L’Herbe Folle » est un groupe dont je tiens absolument à vous parler.

Clem (batterie, guitare, cajon, xylophone, chant) et Aladin (guitare, accordéon, chant), deux des membres du groupe sont venus me voir le 24 février dernier.
Merci à leur attachée de presse (et néanmoins amie de moi), Sissi Kessaï, d'avoir tout bien organisé, comme d'hab'!
Voici une biographie (trouvée sur leur MySpace) et Césarisée (c’est-à-dire, fort compressée).
« « Chut » est un album qui n'est qu'une petite illustration d'un art d'écrire, voire de vivre, pour ces 4 là.
Dans une intro rocambolesque, digne du meilleur speaker du supermarché qu'ils ne fréquentent pas, L’Herbe Folle annonce la couleur « T'es vraiment pas commercial comme mec ! ».
Et ce n'est pas un hasard : L’Herbe Folle est un groupe totalement indépendant, qui croit en la réussite de l'autoproduction. En témoigne leur partenariat avec leurs aînés (Les Ogres de Barback) qui accueillent ce nouvel album sur leur label Irfan.
Ils laissent libre cours à chacun des 4 membres, tous auteur-compositeur et tous poly-instrumentistes, sans en brider aucun. Ils cultivent les identités plurielles et les ponts entre les styles musicaux, troublant ainsi le jeu des étiquettes.
Un groupe de chanson ? Assurément ! En français, en polonais, en clin d'œil occitan, L’Herbe Folle distille un savoir-vivre épicurien, une conscience militante, un vent de bohème qu'il fait bon entendre par les temps qui courent.
Un groupe de musiques acoustiques ? Hé comment : jazz, klezmer valse, bourrée, java, tzigane, tout y passe !
Et les musiques « actuelles » ? Elles ne sont pas en reste. « Chut » marque le pas d'une présence de plus en plus marquée des musiques « amplifiées » dans leur répertoire : jungle, dub, drum'n bass, rock, une énergie vitale qui se déploie sur scène, là où ils sont nés, et où ils continuent à pousser à l'ombre de leurs nouveaux instruments (ukulélé, sax baryton ... )
Tendez donc l'oreille à ce « Chut », armez-vous de silence, et savourez. »

Première partie :
-Le passé du groupe.
-Faire de la chanson un métier.
-Tous les membres de l’Herbe Folle sont multi instrumentistes.
-Comment travaillent-ils ensemble ?
Deuxième partie :
-Un disque aux genres musicaux différents.
-Les préférences musicales de Clem et Aladin.
-Il y a des messages, mais L’Herbe Folle ne fait jamais la morale.
-Chansons variées sont être de variétés…
-Direction artistique expérimentale.
-Le son « L’herbe Folle ».
Quatrième partie :
-L’album à venir.
-L’Herbe Folle sur scène.
-Un public fidèle ?
-Jouer à Paris.
Cinquième partie :

Clip Remix Debout les Morts L'Herbe Folle
envoyé par lherbefolle.
Par En Vie Live par L'Herbe Folle
envoyé par lherbefolle.
"L'idole", extrait de leur dernier album "Chut" 2009
18:40 Publié dans 77FM | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : l'herbe folle, chut, interview, podcast, 77fm
10 mars 2010
Pollux : Moby fredonne encore sur sa chanson Everloving

Il y a quelques jours, Guillaume Chassang, le directeur des éditions Praelego m’appelle.
-Bonjour François, Pollux a sorti récemment un nouveau livre. « Moby fredonne encore sur sa chanson Everloving ». Ça vous intéresse de recevoir le livre ? Bon, en plus, vous y figurez…
-Comment ça j’y figure ?
-Pollux vous a donné un petit rôle dans son roman. Il vous nomme carrément.
-Ah bon ? Mais, il nomme Mandor ou François Alquier ?
-François Alquier.
-Bien et que fais-je précisément ?
-Oh, c’est très court ! Vous prenez un jeune stagiaire dans votre radio… je vous fais parvenir ce livre, vous verrez vous-même…
Effectivement, si Pollux avait été un parfait inconnu de moi, ce procédé aurait été idéal pour que je m’intéresse à cet auteur.
Mais, je le connais parce que je l’ai déjà reçu et Mandorisé pour son premier roman : « J’étais sur le chemin du retour, et j’étais libre ».
J’aime l’écriture de ce garçon.
Un John Fante à la Française. Dans ses livres, les gens banals sont sublimés.
Je lui ai donc demandé de revenir à 77FM pour enregistrer un podcast sur lui et son œuvre (ce que je n’avais pas fait la première fois)…
C’était deux semaines avant mon départ.
Le 26 février 2010.
Et toc, j'ai scanné le passage de "Moby fredonne encore sur sa chanson Everloving" dans lequel je fais une apparition fugace.
(Egotrip, quand tu nous tiens!)
Avant d’écouter le fruit de notre entretien, voici sa présentation (présente sur sa page Facebook, son Myspace)…
« Pollux est né..., et c'est déjà pas si mal... Après des études universitaires de Lettres Modernes, il chemine quelques années dans le domaine de l’Éducation, avant de goûter au monde des bibliothèques. Aujourd’hui écrivain, auteur de plusieurs romans et nouvelles, il s’adonne à toutes les formes d’écriture (poésie, pièces de théâtre, textes de chansons, scénarios...). Il est aussi connu pour son travail en tant que photographe, et représenté ce jour par la Toast Gallery, vitrine où une partie de ses œuvres sont exposées. Il voue aussi un véritable culte à la musique, et se régale en créant des chansons sur une vieille guitare folk qu’il affectionne. »
Voilà un résumé de ses trois livres :
"Cherche petit coin de ciel bleu loin du périphérique"
Nouvelles. Février 2010. Editions Praelego.
Résumé : Les personnages de ces nouvelles ne sont pas des héros. Ils sont comme nous, et tentent seulement d’être heureux. Ils ont renoncé depuis longtemps à changer le monde, mais jour après jour, font preuve de courage pour donner un sens à leur vie, et cherchent seulement à être rassurés et aimés. Ils espèrent, se désespèrent, pleurent et rient. Ils construisent leur vie avec des grains de sable et de folie, forts et fragiles, grandioses et minuscules. On les croise tous les jours, sans forcément les remarquer. Ils sont autour de nous… dans le miroir qui nous reflète.
"Moby fredonne encore sur sa chanson Everloving"
Roman. Novembre 2009. Editions Praelego.
Résumé : « Moby fredonne encore sur sa chanson Everloving » est une invitation à la vie, à celle qu’on doit poursuivre au-delà de la mort de sa femme et de son enfant dans un accident de voiture. Une série de plusieurs personnages qui se côtoient, se soutiennent, parfois s’emmêlent, tous reliés par un fil. Un roman sur un sujet grave, ponctué d’instants burlesques, décalés, qui trace un sillage jusqu’au dénouement.
"J'étais sur le chemin du retour, et j'étais libre"
Roman. Février 2009. Editions Praelego.
Résumé : M. Jaspe aspire seulement à un peu de tranquillité, et s'apprête à profiter de sa première journée d'une année sabbatique bien méritée. Tout irait pour le mieux si la crise de la quarantaine ne venait le chatouiller, sous les traits d'une jeune femme convoitée. A son trouble obsessionnel, viennent s'ajouter d'étranges livraisons quotidiennes de bouquets de fleurs, aux messages anonymes et exaltés.
-Son recueil de poésie, « Cherche petit coin de ciel bleu loin du périphérique ».
-Ses inspirations.
-Forme d’écriture variée : romans, poèmes, nouvelles, textes de chansons.
Deuxième partie :
-Le deuxième roman : « Moby fredonne encore sur sa chanson Everloving.
-Chercher l’âme sœur.
-L’humour pour s’en sortir.
-L’émotionnel plutôt que le cérébral.
Troisième partie :
-Le résumé du roman.
-Écrire des chansons.
Quatrième partie :
-Ses goûts littéraires.
-L’importance de la langue française.
-L’auteur, maître du monde.
-Pourquoi aime-t-il les gens banals.
Cinquième partie :
-Les gens banals sont malléables.
-François Alquier, mentionné dans le roman.
Moby Everloving
envoyé par thunder72fr.
07:44 Publié dans 77FM | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : pollux, moby fredonne encore sur sa chanson everloving, editions praelogo, interview, podcast, 77fm
06 mars 2010
Tété... interview (écrite et orale)!
Le 1er février dernier, je suis allé à la rencontre de Tété pour le magazine « Addiction, le mag ». Comme beaucoup, j’apprécie depuis le début de sa carrière ce musicien/chanteur hors pair. Rendez-vous dans une salle de répétition de Montreuil. Voici le résultat de cette rencontre…
Ensuite, vous pourrez écouter en podcast, l’intégralité de l’interview.

Première partie :
-Déjà le quatrième disque !
-Un album très attendu.
-Présentation des musiciens.
Deuxième partie :
-Repartir à zéro.
-Qu’a-t-il retenu de cette tournée « mondiale » ?
-Se remettre en question en permanence.
-L’enregistrement à Portland.

Troisième partie :
-Textes plus limpides.
-Son producteur Steve Berling.
-Ses impressions sur son disque.
Quatrième partie :
-La chanson 36’70’’.
-Mandor apprend à Tété la mort de Sallinger.
Cinquième partie :
-À quand un roman ?
-Un froussard, artistiquement parlant.

TETE - L'ENVIE ET LE DEDAIN THE VIDEO!
envoyé par tete-leblog.
11:06 | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : le premier clair de l'aube, tété, interview, podcast, addiction
03 mars 2010
Brice... chanteur qui se donne!

Le 18 février dernier j’ai reçu à la radio, le chanteur Brice.
Je l’ai découvert en 2006 pour son premier album.
J’avais trouvé le type et ses chansons intéressantes.
Puis le deuxième album est arrivé.
Je ne l’ai pas vu arrivé.
Normal, il est passé à la trappe de la maison de disque.
Enregistré, distribué et pas promotionné.
Autant dire, tué dans l’œuf.
Jean-Michel Canitrot, attaché de presse que je côtoie depuis des lustres, m’appelle un jour.
-Tu connais Brice ?
-Oui. J’aime bien.
-Tu veux le recevoir à 77FM ? Il peut même chanter en live, voix guitare.
Emballé, c’est pesé…
Voici sa bio (copié collé sur Wikipédia dont tout le monde loue la rigueur et l’exactitude des informations…) :
Fils d'une mère marocaine et d'un père français, il grandit à l'île de la Réunion dans la ville de Saint-Joseph. À 14 ans il quitte la Réunion et s'installe à Montpellier. Passionné par le jazz-rock il se met à la batterie et à la guitare. À 17 ans il part s'installer à Bruxelles où il est admis à l'école d'art La Cambre. Il y enseigne aujourd'hui le dessin.
En 2001 Brice réalise sa première exposition de dessins et photographies à la galerie Damasquine à Bruxelles. Cette même année il part à Lisbonne où il écrit et compose ses premières chansons.
En 2005 il participe au concours des Franc'offs aux Francofolies de Spa et remporte le premier prix lors d'un concert solo. Son premier album intitulé L'album de Brice sort quelques semaines plus tard en Belgique. Le succès du single «Sans gêne» accompagne la sortie du disque, dans son clip le chanteur apparaît entièrement nu et se met dans la peau de Michael Jackson. En décembre 2006 Brice fait une série de concerts à domicile en Belgique, ce nouveau concept lui permet de se rapprocher de ses auditeurs. L'album est alors signé en France sur le label Polydor. Durant cette période Brice effectue en France et en Belgique diverses premières parties, concerts en solo et en groupe.
Brice rentre en studio à Paris en 2008 pour enregistrer son deuxième album. Intitulé En silence, l'album est co-réalisé par Stuart Bruce et sort le 27 octobre 2008 en France et en Belgique sur le label Polydor.
En 2009 il effectue quelques concerts à Bruxelles, à Saint-Joseph et Saint-Denis de l'île de La Réunion, à Pondichéry en Inde et à Berlin. Fin de l'année deux expositions de ses dessins ont eu lieu à Grenoble et à Berlin.
Première partie:
-Présentation de Brice.
-Comment passe-t-il de dessinateur à auteur compositeur interprète?
-Dans une multinationale, mais abandonné par elle.
Deuxième partie:
-Le principe des concerts à domicile.
-Aller chez les gens chanter... concept difficile?
-Que pense le métier de cette façon de s'auto promouvoir?

Troisième partie:
-Un extrait en live du premier album : « Sans gène ».
-Après un échec commercial d'un album, comment s'en sortir?
Quatrième partie:
-Un morceau « live » du deuxième album en intégralité : « En silence ».
Cinquième partie :
-Rendre hommage aux endroits où l'on a vécu...
-L'identité, au centre de ses chansons.
-Le site de Brice.
-Comment envisage-t-il la suite de sa carrière?
Septième partie:
Deuxième chanson « live » tirée du deuxième album : « Dans les endroits branchés ».
Brice - En Silence EPK
envoyé par Brice-officiel.
Brice - En silence
envoyé par folkimplosion.
Brice - Dans les endroits branchés
envoyé par folkimplosion.
Brice - La Réunion
envoyé par folkimplosion.
Voici des clips du premier album.
BRICE - SANS GENE
envoyé par jief75.
Brice - Pathologiquement vôtre
envoyé par folkimplosion.
Brice - J'espère
envoyé par folkimplosion.
Son concept plait aux médias...
"1 disque acheté= 1 chanteur à domicile!!! Brice s'improvise "chanteur à domicile" et va à la rencontre des gens qui ont acheté son album. Ados.fr a suivi le chanteur belge dans tout Paris (et dans les lieux les plus improbables!) et filmé ses mini-concerts privés qui ont enchanté les fans... Découvrez Brice en interview et les images de son périple dans la capitale."
Reportage vidéo: Brice, chanteur à domicile !
envoyé par Ados. -
Brice à domicile
envoyé par folkimplosion.
JT d'M6 : Concert à domicile de Brice.
Brice - CD d'aujourd'hui
envoyé par folkimplosion.
21:55 Publié dans 77FM | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : brice, le chanteur, interview, podcast
25 février 2010
Coup de fil à Yves Jamait!

Récemment, pour Culturissimo, j'ai chroniqué son récent "Yves Jamait en concert". Vous le savez si vous êtes lecteurs fidèles de ce blog, de temps en temps, je passe un coup de fil à un artiste pour prendre rapidement de ses nouvelles. C'est ce que j'ai fait cette semaine avec Yves Jamait... Première partie: -Comment tout a commencé? -Yves Jamait : chanteur de scène? -Que pense-t-il de sa réputation? -La rock attitude à la Jamait! -L'humour pendant les concerts. -Prochain disque. -La création. Pour finir, voici un extrait de Jamait en Concert: "Je passais par hasard". Une chanson qui tombe à pic en ce jour où l'Assemblée Nationale doit adopter des mesures contre les violences conjugales. Parmi elles, la mise en place du port du bracelet électronique pour éloigner les hommes violents de leurs compagnes. Rappelons que chaque année, en France, près de 160 femmes meurent sous les coups de leur conjoint. |
Yves Jamait en concert - Je passais par hasard
envoyé par wagramlabel.
08:39 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : yves jamait en concert, interview, podcast, 77fm
19 février 2010
Fred Ricou et "les histoires sans fin"!
Fred Ricou, je ne le connais pas depuis longtemps. Ma rencontre avec lui est même plutôt récente.
Le 5 février dernier, dans les locaux de 77FM.
Je crois bien que c’est mon amie, l'éditrice Elisabeth Robert qui m’en avait parlé pour la première fois, ensuite, j’ai lu son nom dans l’ours des magazines pour lesquels je bosse.
Nous sommes effectivement collègues es-écriture et je l'ai appris tout récemment.
Fred Ricou (accompagné de Daniel Henocq) a fondé un site consacré à la littérature jeunesse :
"Il s’adresse aux lecteurs qui aiment cette littérature et aux parents qui se sentent perdus au milieu de cette culture foisonnante.
Premier site journalistique sur le sujet animé par une équipe de passionnés, le site Les Histoires Sans Fin propose des critiques positives de livres, d’albums, de bandes dessinées et bientôt de documentaires !
Le site Les Histoires Sans Fin propose aussi du contenu écrit et vidéo pour faire connaissance avec les différents acteurs de l’édition jeunesse : auteurs, illustrateurs, éditeurs, dessinateurs, mais aussi toutes les personnes proches de ce secteur : réalisateurs de films, responsables de salons littérature jeunesse, et les grands évènements (salons, films, expositions…)."
(Dixit le site lui-même qui est rudement bien informé sur ce qu’il propose, ce qui m’impressionne fortement !)
Voici donc sa mandorisation en podcast (4 parties de 4 minutes) :
Première partie :
-Présentation de Fred Ricou.
-Pourquoi s’intéresser à la littérature jeunesse ?
Deuxième partie :
-Pourquoi un site spécialisé dans la littérature jeunesse ?
-Présentation du site.
-Critiques toujours positives.
-Pas de pédagogie, juste du plaisir.
Troisième partie :
-Des vidéos sur le site.
-Présentation de l’associé de Fred Ricou, Daniel Henoq.
-Fréquentation du site.
Quatrième partie :
-Les histoires sans fin des les salons du livre.
-Les appels du pied de la profession.
-Evolution du site.
17:09 Publié dans 77FM | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : fred ricou, daniel henoq, les histoires sans fin, interview, podcast, 77fm
18 février 2010
Coup de fil à F.M...


J'aime cet artiste hors du commun. Il parvient à concilier deux approches longtemps considérés comme antagonistes, celle de la pop et la musique de chambre.
F.M. clip "Certain People"
envoyé par Pop_Music.
17:43 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : f.m, françois maurin, a dream or two, podcast, 77fm
11 février 2010
Que devient Jean-Claude Borelly?
18 albums enregistrés.
Plus de 15 millions d’albums vendus dans 23 pays.
22 disques d’or.
Et plus de 2.000 concerts dans le monde.
Son plus grand succès est Dolannes Mélodie.
En 1975...
Jean-Claude Borelly - Dolannes Melodie
envoyé par peter95000.
Je l'ai retrouvé... enfin, je lui ai passé un coup de fil pour prendre de ses nouvelles.
Première partie :
-Présentation du musicien.
-Tournée des églises et des cathédrales.
-La relation avec son public.
-Ne plus être en haut de l'affiche...
Deuxième partie:
-Son duo avec Stéphane Guillon.
-Son nouveau disque : "Du choeur à la lumière".
Merci à Jean-Claude Borelly d'avoir eu suffisamment d'autodérision pour jouer le jeu de Mandor. Un jeu qui n'en reste pas moins respectueux.
Allez, on se quitte avec un page de pub!
18:31 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : jean-claude borelly, du choeur à la lumière, dolonnes mélodie, interview, podcast