20 septembre 2018
16e salon du livre et de la chanson de Randan : Photos et commentaires
La Chanson des Livres est le premier salon entièrement consacré à la chanson francophone. Il se tient à Randan, dans le Puy-de-Dôme. Inauguré en 2003, ce salon invite en Auvergne, face à l’orangerie du château de Randan, une vingtaine d’auteurs, artistes, biographes et chroniqueurs pour deux journées de rencontres, de débats et de dédicaces avec un public passionné par la chanson française.
J’avais déjà été invité il y a deux ans pour présenter mon livre sur Louane (voir là).
Les 15 et 16 septembre dernier, la seizième édition de ce salon a reçu Anne Sylvestre, Nilda Fernandez, l’immense parolière Vline Buggy (50 chansons pour Claude François, "Céline" pour Hugues Aufray, "Les bals populaires" pour Michel Sardou, "Pour le plaisir" pour Herbert Léonard, etc. etc.), Corine Marienneau (ex-Téléphone), Jacqueline Boyer, Richard Gotainer, Emma Daumas, Chris Evans, parmi d’autres auteurs et quelques spécialistes de la chanson (Stéphane Loisy et Baptiste Vignol pour leur nouvel ouvrage sur Jacques Brel, "40 ans, 40 chansons", rédigé avec Bruno Brel et moi pour mon livre-référence sur Starmania,).
Voici donc quelques photos commentées de ces deux journées fort sympathiques.
Le 15 septembre d’abord :
Comme nous respectons la nature et l'écologie, nous sommes partis de Paris en covoiturage, la chanteuse Jacqueline Boyer, l'attaché de presse Eric Durand et moi-même. C'est Alexandre Deffrenne qui conduisait. Merci à lui! Voici une photo à mi-parcours sur une aire d'autoroute.
La salle nous accueillant était encore vide à notre arrivée. Normal, le salon ouvrait deux heures après. J'étais ravi de constater que ma place était à côté de celle de Nilda Fernandez, dont j'aime beaucoup les chansons et la personnalité.
Ce livre me dit vaguement quelque chose...
Avec mon ami, Olivier Vadrot, un fidèle compagnon de ma vie littéraire.
Papotage entre voisins de table. Nilda Fernandez, la grande classe!
De longues heures de discussions...
Ici, Corinne Marienneau et Emma Daumas (en arrière plan, toujours Nilda et moi.)
On se connait depuis une heure, mais nous, c'est quand même à la vie à la mort quoi!
Ici, Doune Corbier, la femme de François Corbier (disparu l'année dernière et qui était un fidèle de ce salon). A côté, Richard Gotainer (une de mes idoles dans la chanson française).
Notre chauffeur, Alexandre Deffrenne se faisant dédicacer un disque par Richard Gotainer, seul artiste à ne pas présenter de livres. L'exception qui confirme la règle.
Vue d'ensemble du salon.
Une petite visite d'une amie amatrice de chansons, Edalina. Et hop! Un exemplaire vendu (même pas, elle l'avait déjà acheté à sa sortie).
Jacqueline Boyer, Anne Sylvestre en moi, sagement, devant nos tables...
Jacqueline François et Nilda Fernandez.
La salle de l’Ancien Marché, où se tient le salon, se situe juste en face de l’entrée du Chateau de Randan, dont le parc, ce week-end là, était ouvert pour les journées du patrimoine. Qu'avons nous fait à la fin de la première journée? Nous sommes allés le visiter avec un guide (très prolixe). Ici, de gauche à droite, Olivier Vadrot, Richard Gotainer et la femme qu'il aime, un bout de je ne sais pas qui et Corine Marienneau.
Olivier Vadrot et Richard Gotainer.
Tout le groupe écoute religieusement le guide.
Richard Gotainer et Corinne Marienneau.
Les mêmes…
Richard Gotainer et Al Pacino.
Le soir, l'apéro avant le somptueux diner. Quelques auteurs…
Tout ce beau monde le refait (le monde).
Le diner se passe bien. Vous reconnaitrez à cette table notamment la parolière Vline Buggy, Emma Daumas, Corinne Marienneau, Richard Gotainer, Baptiste Vignol et bibi.
Les mêmes… de loin.
Richard Gotainer, Baptiste Vignol, Vline Buggy et moi.
Petit trinquage de fin de soirée entre Anne Sylvestre et Richard Gotainer.
Deux artistes importants de la chanson française dans deux genres différents. Privilège d'être là et d'assister à cette rencontre.
Passons à présent au 16 septembre. Le monde arrive. Ici Jacqueline Boyer et Anne Sylvestre.
Jacqueline Boyer et Anne Sylvestre, tout sourire (enfin, surtout l'une des deux).
Petite pause entre collègues de salon. (La grande Anne Sylvestre quoi!)
Entre deux charmantes personnes, Vline Buggy et Jacqueline Boyer (deux rayons de soleil). Et Corine Marienneau qui court derrière pour figurer sur la photo (même pas vrai, elle rejoignait simplement sa place).
Vline Buggy et Corinne Marienneau.
Petite pause entre collègues de salon (bis). Notez la mise en scène, l'ex Téléphone, Corinne Marienneau montrant son téléphone. C'est très fort. Symboliquement, je veux dire.
Alexandre Deffrenne et Emma Daumas photographiés par Kevin Escudero.
La lumineuse et positive Emma Daumas avec Olivier Vadrot.
Avec Olivier Vadrot et Nilda Fernandez (grand monsieur de la chanson et grand monsieur tout court).
Avec Pascal Pacaly et Chris Evans, voisins de table également.
Edda Mathillon et Kevin Lescudero. D'ailleurs, j'en profite pour dire un grand merci à Edda qui est l'organisatrice principale de ce salon. Elle est d'une grande gentillesse, ainsi que toute son équipe. Nous sommes toujours reçu comme des rois avec beaucoup de bienveillance. C'est rare.
A la prochaine édition, j'espère!
15:46 Publié dans Les coulisses du show biz, Livre, Musique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : salon du livre et de la chanson, randan, mandor, l'aventure starmania
20 décembre 2017
François Alquier : interview par Fabien Martin pour L'aventure Starmania +promos
Fabien Martin est un ami auteur compositeur interprète dont j’apprécie le travail depuis qu’il enregistre des disques. Il a été un des tout premiers mandorisés il y a 11 ans, en juillet 2006, puis il est revenu en 2014. Nous sommes devenus amis au fil des années.
Un jour, il m’envoie un message.
Lui :
-Pour ton livre, L'aventure Starmania, tu veux bien que je te mandorise?
Moi :
-Euh...
Lui : Tu fais la promo des autres tout le temps, je ne te laisse pas le choix. Je vais m'occuper de ton cas, point barre!
(Ainsi, le 29 septembre dernier, dans son studio d'enregistrement, un de mes chanteurs préférés a fait son boulot d'intervieweur impeccablement. Il avait bien lu le livre et m'a posé une série de questions très intéressantes.
(Fabien, reste dans la chanson, je ne veux pas que tu me piques mon job!)
(Et merci pour tout!)
Interview :
Bonjour François.
Bonjour Fabien.
Il y a environ deux ans, tu sortais un livre sur la chanteuse Louane, et aujourd’hui nous sommes ici pour parler de la parution de ton ouvrage sur l’aventure Starmania.
Tout d’abord, toi qui as l’habitude d’interviewer des chanteurs, qu’est-ce que ça te fait d’être interviewé par un chanteur ?
Etre interviewé n’est pas l’exercice dans lequel je me trouve le meilleur. Par un chanteur, qui plus est, c’est la première fois. Donc je ne sais pas. Je vais vivre cette expérience, et je t’en parlerai à la fin.
Alors ce sera notre première fois pour tous les deux. Tu as bien dormi ?
J’ai… moyennement dormi, mais pas à cause de ça.
La première question que je vais te poser sera la dernière à laquelle tu répondras, parce qu’elle n’est pas simple, et qu’elle va te demander un peu de réflexion et d’imagination. Tu vas donc y penser durant l’interview et j’y reviendrai à la fin.
Nous sommes donc en 2017, la dernière édition de Starmania a eu lieu en 1993 et, comme tu le sais, une nouvelle édition verra vraisemblablement le jour en 2018, sous la houlette de son auteur.
Ce que tu ne sais pas encore, en revanche, c’est que Luc Plamondon va t’appeler d’ici la fin de la semaine pour te proposer le poste de Directeur de Casting, poste que tu ne peux pas refuser évidemment.
Evidemment.
Qui verrais-tu dans chacun des rôles aujourd’hui ? Evidemment, on a besoin d’un casting franco-québécois, c’est le désidérata de monsieur Plamondon. Alors tu y réfléchis et on y revient dans trente minutes. Ok pour toi ?
OK.
Quel âge avais-tu au moment de la première mouture de Starmania ?
J’avais onze ans, je m’en souviens parfaitement. J’avais fait acheter le disque bleu de 1978 par mes parents, pour la seule et unique raison qu’il y avait à l’intérieur un chanteur que j’entendais de plus en plus, Daniel Balavoine. « Le Chanteur » était joué sur toutes les radios. Et cette voix-là m’avait complètement… bouleversé. Je l’adorais.
Donc tu as acheté l’album de Starmania juste…
… Juste parce qu’il y avait Balavoine, exactement !
C’est un spectacle que tu as vu ou que tu as fantasmé ?
Oui je l’ai vu, mais uniquement la dernière version.
Je voulais savoir si tu avais vu l’original.
Malheureusement, non. Et c’est vraiment ma version préférée. J’ai aimé Starmania avec la première version. D’abord l’album bleu, enregistré en studio, puis la version live, un an plus tard, qui est, à mon avis, la plus complète. Le vrai Starmania c’est cet album-là, puisqu’il y a toutes les chansons, ainsi que les intermèdes qui racontent l’histoire.
Avec Daniel Balavoine (Johnny Rockfort) en 1984 au Palais des Sports de Paris.
Donc c’est par le truchement de Balavoine que tu arrives à Starmania, mais tu y découvres d’autres chanteurs…
Oui, et j’ai fini par aimer toutes les chansons très rapidement. Je ne comprenais pas vraiment ce qu’elle racontait, parce que les thèmes abordés à l’époque ne me parlaient pas vraiment, mais j’aimais les voix. Et j’adorais la musique de Michel Berger. D’autant plus que toutes les chansons se suffisaient à elles-mêmes. On pouvait les écouter sans forcément penser à l’histoire.
Justement, c’était ma question suivante… Penses-tu que le public ait à ce point conscience de ce que raconte Starmania, au-delà des chansons ? Ne crois-tu pas que la redoutable efficacité et popularité de chacune des chansons n’a pas un peu éclipsé l’ensemble de la comédie musicale, son livret, son propos ?
Je partage ton avis. Les chansons ont éclipsé l’histoire et, j’irai même plus loin, elles ont éclipsé les interprètes. En France, peu de gens savent que c’est Claude Dubois qui chante « Le Blues du Businessman » par exemple. Et encore, là, je te parle de la première version…
C’est ce que tu écris dans ton livre d’ailleurs, ce sont les chansons qui sont au service des interprètes et non pas l’inverse…
C’est ce que me disait le directeur de Radio Nostalgie. Quand la radio diffuse ces chansons, personne ne sait qui les chante, à part Balavoine et Fabienne Thibault.
Oui quand même… Dans ton avant-propos, tu mentionnes une personne que tu as interviewée pour ton livre et qui te demande pourquoi tu aimes Starmania depuis toujours. Tu dis te retrouver dans l’incapacité de répondre. Depuis que tu as terminé le livre, j’imagine que tu as eu le temps de réfléchir à la question… As-tu une réponse à lui donner aujourd’hui ?
Je ne sais pas, j’imagine que toi aussi tu as des albums de référence, que tu as écouté toute ta vie, que tu aimes, mais tu ne sais pas vraiment pourquoi. Starmania, c’est un truc qui m’a toujours touché. Chaque chanson raconte une histoire dans laquelle tout le monde peut se retrouver.
Justement, est-ce qu’il y a une chanson qui te tient particulièrement à cœur ? Un personnage auquel tu t’identifies ? Ne me dis pas « Balavoine », attention! Je ne parle pas d’un chanteur en particulier, mais d’un personnage.
Je serai tenté, effectivement, de te dire que ma chanson préférée est « S.O.S. d’un terrien en détresse », car je la trouve superbe, mais Johnny Rockfort n’est pas le personnage dans lequel je me retrouve ; c’est un terroriste, il est plutôt faible, il se fait un peu mener par le bout du nez par Sadia puis par Cristal… De fait, en réalité, je trouve qu’il n’a pas tant de personnalité que cela.
Comme la plupart des terroristes aujourd’hui.
Oui, c’est vrai. Ma sensibilité m’amènerait donc plutôt vers le rôle de Marie-Jeanne, la serveuse automate. Je crois que c’est le rôle le plus universel. Elle raconte la solitude, les déceptions amoureuses, l’interrogation sur ce que l’on fait sur Terre, sur où est notre place… Marie-Jeanne se pose des tas de questions que l’on se pose tous. Les autres personnages sont davantage segmentants.
Avec Maurane (Marie-Jeanne), le 30 mars 1993 au Palais des Congrès de Strasbourg.
En lisant ton livre, j’ai eu la sensation que le succès et la réussite de Starmania, tant commerciale qu’artistique, tenaient au fait que Berger et Plamondon n’étaient pas du même continent. Un compositeur du Vieux Continent, et un auteur du Nouveau, avec tout ce que cela implique de modernité. Je ne sais pas si Starmania aurait été si visionnaire à l’époque, et donc autant d’actualité quelques décennies plus tard, si Luc Plamondon avait été européen. Qu’en penses-tu ?
Effectivement, Luc Plamondon est arrivé avec sa culture, et la culture nord-américaine, tu le sais, n’est pas la même que la nôtre. Et ce choix, Michel Berger l’a fait volontairement. Il savait qu’il n’allait pas trouver les mots, il sentait qu’il manquait quelque chose. Il n’avait pas la virulence de Plamondon, la même culture, ni forcément la même vision du monde. Cette association a été comme une étincelle, ils se sont trouvés. Et ils n’ont jamais pu refaire aussi bien, même s’ils ont remis le couvert par la suite avec « La Légende de Jimmy »…
Oui, un peu comme un vieux couple qui se remet ensemble des années après, mais ce n’est plus la même magie.
Ça n’a pas matché de la même façon. Je ne sais pas, il devait y avoir toutes les conditions réunies en 78 pour faire ce chef-d’œuvre.
Les planètes étaient alignées.
Voilà, c’est ça!
Je voudrais revenir un peu sur ton livre, sur la façon dont tu l’as écrit. Quelles ont été les premières étapes ?
J’ai commencé par les entretiens. Comme tu le sais, c’est mon métier, et j’aime beaucoup ça. Tous les livres que j’écris sont à base d’interviews, je trouve que c’est le bon matériel pour commencer un livre. Donc j’en ai fait beaucoup, beaucoup, beaucoup… Et le problème c’est que quand tu as autant de témoignages, et là j’en avais quand même trente ou trente-cinq, c’est qu’il faut déjà les retranscrire. Savoir où tu vas situer telle phrase, telle citation, tel thème… et cela devient vite un casse-tête, un véritable enfer même ! J’avais tout imprimé, tout disposé par terre, je relisais, je me disais : « tiens, ça, ça peut aller là, ça ici », etc… C’était ludique, mais difficile.
Combien de temps t’a demandé l’écriture de ce livre ? A quelle fréquence, à quels moments de la journée ?
Ça m’a pris un an en tout, dont véritablement trois mois à temps complet, où je ne faisais quasiment que ça.
Es-tu parvenu à sacrifier ta vie de famille et à laisser tomber tes amis afin de te consacrer pleinement à l’écriture ?
Les gens qui me sont proches ont eu la gentillesse de ne pas m’en vouloir quand j’avais beaucoup de boulot. Mais c’est vrai qu’on n’est pas disponible, ni dans le temps, ni dans sa tête. Mais je suis sûr que c’est pareil pour toi, qui est chanteur et musicien, quand on est dans son truc, on a du mal à s’en extirper. Starmania a occupé un an de ma vie ; je ne vivais que Starmania, je ne pensais que Starmania. Ça m’a fait pareil avec Louane. Quand tu prends un sujet, tu vis avec, tu t’endors avec, tu te réveilles avec.
En tout cas, bravo, le livre est vraiment beau, bien documenté, très fourni en photos et en témoignages. J’ai appris par exemple que Michel Jonasz avait décliné l’offre de chanter « Le Blues du Businessan ». C’est fou !
Oui, mais comme je sais que c’est quelqu’un de ta famille, il faudra quand même lui demander si c’est vrai.
On lui demandera. Cela dit, puisqu’on est entre nous tu peux me le dire, de quels protagonistes aurais-tu aimé avoir les témoignages, t’entretenir, et qui n’ont pas voulu te répondre ? Ou peut-être que tu n’as pas osé contacter ? Evidemment, on pense à France Gall, Luc Plamondon…
Ce sont ces deux-là justement ! Luc Plamondon, je voulais que ce soit lui qui fasse la préface.
Avec Luc Plamondon, l'auteur de Starmania, le 20 novembre 1998 à Radio Notre Dame.
C’est Maurane qui va être contente (Maurane signe la préface, NDLR)…
Je pense qu’elle le sait et qu’elle le comprend. Donc, concernant Plamondon, je n’ai pas eu de réponse. Ou plutôt une fin de non-recevoir de la part de son entourage, qui m’a expliqué qu’il ne participait jamais à ce genre de chose... France Gall, c’est une toute autre histoire. C’est quelqu’un de tout à fait admirable professionnellement, mais lorsque sort un projet concernant Michel Berger, je crois qu’elle aime bien avoir l’œil dessus, et moi je ne souhaitais personne qui veille sur ce que je faisais. Je voulais de la liberté et de la sérénité.
Donc tu ne lui as même pas demandé…
Pour être franc, j’ai hésité. Je me suis dit « soit je l’appelle », au risque d’être un peu embêté pendant l’écriture, soit je fais sans. Et il y avait suffisamment de témoignages d’elle à droite et à gauche sur le sujet pour que je puisse m’en passer.
Avec France Gall (Cristal), le 3 septembre 2015. ®Bruck Dawit
La ou les personnes que tu as été le plus heureux de rencontrer ?
J’étais heureux de les voir tous, car ce sont des personnes qui ont fait partie d’une aventure qui me fascine. Donc passer un après-midi avec les uns et les autres, c’était génial. Maintenant, la rencontre qui m’a le plus intéressée, c’était quand même Bernard de Bosson (photo à gauche).
Ça ne m’étonne pas. Un grand monsieur du métier.
Un grand monsieur sans qui Starmania n’aurait certainement pas existé puisque, comme je l’explique dans le livre, c’est lui-même qui a insisté auprès de Michel Berger, alors encore un peu frileux, pour financer le projet… et sans avoir entendu une seule note de musique ! C’est une anecdote assez connue, mais je la trouve incroyable. Prendre ce pari…
… avec la maison-mère américaine, qui demandait des comptes et lui mettait la pression !
Oui, mais Warner USA finançaient aussi les albums de Quincy Jones sans non plus avoir entendu quoique ce soit, ce que ne manquait pas de leur rappeler Bernard de Bosson. C’est quelqu’un qui a été à la tête de Warner pendant 17 ans, il a tout vu, tout connu, découvert Véronique Sanson, Berger… Alors quand je suis en face d’un gars comme ça, qui me reçoit chez lui à grand renfort de whisky et qui me raconte tout ça, je me dis que je suis un peu privilégié. Et je me dis aussi que sans lui, il y a de fortes chances que Starmania, on n’en ait jamais entendu parler.
Il faut parfois des gens un peu fêlés également pour suivre les artistes dans ce genre d’entreprise.
Exactement.
D’autres personnes ?
Je suis devenu assez proche de Sabrina Lory qui jouait Stella Spotlight dans la deuxième version, Peter Lorne également, qui était une des étoiles noires. Ce sont des gens qui m’ont beaucoup aidé, qui m’ont donné des photos personnelles inédites. Ils m’ont proposé de venir chez eux et on a sélectionné ensemble tout un tas de photos. Les frères Groulx, Richard et Norman respectivement Zéro Janvier et Johnny Rockfort, se sont réunis un après-midi pour retrouver et sélectionner plein de photos et me les envoyer par mail. Wenta, une formidable Sadia, aussi m’a envoyé des photos de sa collection personnelle. Tout ça fait une somme de documents que personne n’a jamais vu ! Je voulais absolument que le fan de Starmania y trouve son compte.
François, toi qui est un peu un des grands spécialistes de la chanson francophone, penses-tu qu’un opéra rock aussi puissant que Starmania puisse être créé d’ici disons… les 300 prochaines années ?
Je n’y crois pas du tout en fait. Mais je l’espère bien sûr, j’aimerais bien que quelqu’un détrône Starmania un jour. J’ai vu beaucoup de comédies musicales, ça n’a jamais, jamais le niveau de Starmania. Ni dans les thèmes abordés, ni dans les voix. Peut-être dans le décor, dans la scénographie, mais ça ne me touche pas. Même « Notre-Dame-de-Paris », pourtant écrite par Luc Plamandon… je trouve ça tellement insipide…
Et encore, au niveau des compositions, tu ne cites pas la pire de ces vingt dernières années… Pour le reste, c’est vrai qu’en général on sent que tout a été lissé et raboté afin de plaire au maximum de personnes mais que plus personne ne s’en souvienne.
Et c’est l’erreur. Dans la première version de Starmania, il n’y a rien d’édulcoré. D’ailleurs, lors de la deuxième version, ce n’est déjà plus pareil…
En ce qui te concerne, tu es plutôt version 1979, 1988 ou 1994 ?
79 et sans conteste.
Ce qui est dit en sous-texte dans ton livre, c’est que l’ambiance des représentations de Starmania en 79 n’est pas fofolle… c’est un peu la lutte des egos. On sent qu’ils ne vont pas partir ensemble en vacances… Contrairement aux versions suivantes d’ailleurs.
Cette réunion entre les Québécois et les Français était une première, et on m’a souvent dit qu’ils ne s’entendaient pas forcément bien entre eux. Mais également entre musiciens américains et chanteurs canadiens ! Il y avait pas mal de mics-macs en coulisses. Les petits conflits, l’esprit de compétition, etc… Quant à France Gall, elle avait une place un peu particulière, puisqu’elle était également la femme du compositeur, en plus d’être déjà une star. Balavoine, lui, ne voulait pas vraiment en être. Ces histoires de comédies musicales, son personnage de terroriste, il avait vraiment peur que ça parasite sa carrière qui commençait à décoller. Ce manque d’envie, ça ne facilite pas vraiment l’adhésion. Et puis il y avait le metteur en scène, Tom O’Horgan, un Américain un peu déjanté, qui n’aidait pas à l’ambiance.
Qu’est-ce que tu reproches aux versions suivantes ?
J’aime beaucoup la deuxième version, celle de 1988. J’aime beaucoup Sabrina Lory, Renaud Hantson, Wenta, les frères Groulx et bien sûr Maurane. Même la mise-en-scène est pas mal du tout. Je déplore juste le fait qu’ils aient retiré certaines chansons. Et je regrette vraiment les arrangements musicaux, très marqués années 80. Ils étaient très dans l’époque, et forcément, ça a mal vieillit.
C’est vrai que les versions qu’on entend aujourd’hui sont toujours celles de 79.
Toujours ! Starmania, on entend toujours la première version. Quant à celle de 1994, mise en scène par Lewis Furey et tant décriée par France Gall, c’est la seule que j’ai vue en vrai. C’était un peu déroutant, car le délire de Lewis Furey n’était pas du tout celui de Berger ou de Plamandon, mais je ne l’ai pas trouvé non plus catastrophique. C’était spectaculaire, avec cascadeurs, jongleurs… On en avait plein les mirettes, c’était vraiment la grosse artillerie. Mais plus le temps passait, moins il y avait de décor, de personnes sur scène… ça devenait un peu n’importe quoi à la fin.
Et toi, est-ce que tu aurais aimé chanter dans Starmania ?
Je ne sais pas, et puis aujourd’hui c’est moi qui pose les questions. En plus, tu sais que c’est ma première interview alors c’est important de s’inspirer de ce qui a été fait avant, par les maîtres. Je vais donc, pour terminer, te poser trois questions « à la manière de ».
OK, allons-y.
On va commencer à la manière de Thierry Ardisson.
Tu as pris beaucoup de cocaïne pour écrire ce livre ? Peut-être même avec certains interprètes de Starmania ?
Avec les interprètes de Starmania, je n’ai bu que du thé ou du café. Ah! Aussi un Coca Light un jour.
Quelle tristesse cette époque…
Maintenant, à titre personnel, je ne prends pas de drogue, mais il m’est arrivé d’être accompagné d’un bon verre de vin. Ça me détendait et finissait par débloquer la situation quand je me retrouvais dans une impasse.
A la Manière de Yann Moix.
L’impossible n’étant pas le contraire du possible, mais plutôt une sorte de possible qui serait arrivé à son incandescence, penses-tu que c’est justement parce qu’une telle comédie musicale était impossible à réaliser en France que Luc Plamondon et Michel Berger l’ont fait ?
Euh… oui. T’as pas un aspirine, s’il te plait ?
Et enfin à la manière de Jacques Chancel. Et Dieu dans tout ça ?
Dieu n’a pas sa place dans Starmania. Etonnamment, il n’est pas du tout question de religion. Il y a juste eu dans la première version un gourou d’une secte.
Pendant l'interview...
Je reviens donc à ma première question. Tu as fait ton casting ?
Qui verrais-tu dans le rôle de Johnny Rockfort ?
C’est compliqué pour moi qui suis toujours à la recherche du nouveau Balavoine. Mais je dirai Pierre Lapointe.
J’en étais sûr. Zero Janvier ?
Renaud Hantson. Il a participé aux versions 88 et 94, il serait parfait pour faire le raccord. Et il a l’âge du rôle à présent.
Stella Spotlight?
Une québécoise aussi foldingue que Diane Dufresne à l’époque : Klo Pelgag. Elle est peut-être trop jeune, mais elle serait très bien, excentrique comme il faut. Son show est une folie totale.
Ziggy?
Eddy de Pretto.
Cristal?
Louane, tiens!
Oui, enfin si France Gall accepte. Sadia?
Je ne vois pas à quoi tu fais référence (rires). Mais ma réponse est Fishbach.
Et enfin Marie-Jeanne ?
Buridane.
Très bon casting. Merci.
Merci, c’était ta dernière question ?
Oui, et je te remercie de tes réponses.
Pendant l'interview (bis).
Quelques personnalités présentes dans le livre... avec le livre.
Renaud Hantson (Ziggy en 1988 et 1989 et Johnny Rockfort en 1989).
Grégoire Colard (attaché de presse de Starmania 1979 et de Michel Berger et France Gall pendant 16 ans).
Fabienne Thibeault (Marie-Jeanne 1978 et 1979).
Norman Groulx au Québec (Johnny Rockfort dans les versions de 1988 et 1993)
Roddy Julienne, le grand gourou dans les version 1978 et 1979.
Et oui, il y a eu une merveilleuse soirée de lancement le 17 novembre dernier, à Paris, à la librairie Les nouveautés. Beaucoup de monde, dont quatre artistes de Starmania. Voici quelques photos.
Avec René Joly, L'extra-terrestre dans la version 1978 et Roger-Roger dans la version live de 1979.
René Joly (voir photo précédente), Roddy Julienne (le grand gourou dans la version public de 1979), Fabienne Thibeault (Marie-Jeanne en 1978 et en 1979) et Peter Lorne (une étoile noire dans la version 1988).
Les mêmes avec le chanteur Thomas Caruso.
Quelques invités, en début de soirée...
En mode sérieux.
Avec la chanteuse Céline Lenfant, le chanteur Thomas Caruso et le découvreur de talent, Olivier Bas...
...à qui je me demande bien ce que je racontais.
Avec Jérôme Collet (Spartacus, Notre-Dame de Paris...) et Roddy Julienne (Starmania, Notre-Dame de Paris...)
Les mêmes avec Corinne Labat, la présidente du Pic d'Or.
Avec les chanteuses et chanteurs, Geneviève Morissette, K!, Fabien Martin, Sophie Le Cam, Carole Masseport et Jean-Jacques Nyssen.
Avec mes amis, Patrice Demailly (journaliste) et Arnold Turboust (auteur-compositeur-interprète).
Avec Laurent Balandras (éditeur, manager, auteur...)
Avec mon ami, le chanteur Caruso.
Les chanteuses Céline Lenfant (à gauche) et Déborah Elina, entourant Stéphane Violas et Alexei Smigielski (ASV Chansons).
Quelques invités...
La présidente du Pic d'Or, Corinne Labat, avec deux Pic d'Argent K! et Thomas Caruso.
Avec les deux humoristes, comédiens, auteurs, Jonathan O'Donnell et Akim Omiri.
Avec mes potes comédiens et auteurs, Kaza, Vincent Scalera et Guillaume Gamand.
Mon attachée de presse, Clémentine Duguay, Fabienne Thibeault et Jean-Louis Hocq, directeur adjoint du pôle Tourisme - Pratique- Livres illustrés (marques Lonely Planet, Solar, Hors Collection, Acropole, Pré aux clercs) de Place des éditeurs (groupe Editis).
Boris Gasiorowski (animateur et manager), Roddy Julienne et Peter Lorne.
Avec Stéphane Violas (organisateur de spectacle) et la chanteuse Sophie Le Cam.
Avec les quatre artistes de Starmania et mon pote de toujours, l'animateur de Nostalgie, Olivier Louvet.
Petit melting pot de photos. Merci à tous d'être passés, vous dire que l'émotion était là est un euphémisme...
Le livre se vend bien. Il est souvent très bien classé dans les ventes du site d'Amazon (même si la mort de Johnny, le 5 décembre 2017, a un peu biaisé les résultats.)
On parle du livre là:
Dans la presse écrite :
FrancoFans (le bimestriel indé de la scène francophone, décembre/janvier 2018, n°68):
Open Mag (le journal gratuit de la FNAC, n°201, décembre 2017, janvier 2018):
Gala (n°1278, du 6 décembre 2017):
Hexagone (janvier-février-mars 2018 n°06) :
Dans sa version en ligne.
France Dimanche (N°3722, 29 décembre 2017).
Longueur d'Ondes (N°84 Hiver 2017/2018):
Dans sa version en ligne.
Apollo Magazine, trimestriel masculin haut de gamme (N°21 avril 2018):
Jukebox Magazine, le mensuel musical des passionnés de musique et collectionneurs de disques (N°377- mai 2018):
Le Figaro (N°22950-26 mai 2018):
Sur le net :
Chez TouteLaCulture.com.
Sur le site de France Bleu.
France Bleu avec Julien Baldacchino.
Sur le site de TV Melody.
Sur le blog consacré aux biographie, Bios enchantées.
Sur le site consacré aux comédies musicales, Musicale Avenue.
Sur un autre de même type, Regard en coulisses.
Sur le site culturel Art Six Mic.
Sur le site culturel, Culturellement Vôtre (l'article certainement le plus détaillé de tous.)
Sur le site culturel Week-People.
Sur le site culturel FanMuzik.
Sur le site culturel France Net Infos.
Sur le "quotidien des professionnels des médias" Médias+.
Sur le site culturel Fenêtres sur blog (Music Box).
Avec Gérard Quentin de Music Box.
Sur la page YouTube du Monde du ciné (dans la hotte du Père Noël).
Sur le site consacré à la chanson française, Chanter, c'est lancer des balles.
Sur un autre site consacré à la chanson française (et pas des moindres), Nos Enchanteurs.
Sur la page Facebook de Broadway à Paris.
Avec Mickael Obry de Broadway à Paris.
Le livre est aussi conseillé comme cadeau de Noël par le site Culture Hebdo, le carrefour d'information du livre au Québec et dans le monde, La Presse, site d'info de Montréal, Le Journal de Montréal et par le site consacré aux livres et aux films, Baz'Art.
Le Journal de Montréal (25 novembre 2017).
Une idée de cadeau en or et un jeu concours dans le n° spécial fêtes de Maxi (n°1624, du 11 au 17 décembre 2017).
Un autre jeu concours avec la radio partenaire du livre, Nostalgie, sur leur site, du 4 au 10 décembre 2017.
Et, malheureusement, la presse people et leurs extraits non contextualisés.
Le pompon avec Voici, puis Yahoo qui copie-colle, et ceux qui suivent, Gala, Non Stop People, Orange, Pure People, Free, Télé Loisirs, Le Gossip, People no limit, Femme Actuelle, 7 sur 7, Le Point (oui, même eux!), Le Figaro, Pure Break...
En pleine promo de ce livre, France Gall est décédée... j'ai écrit "mon rendez-vous manqué" avec elle pour le Huffingtonpost. A lire ici.
Et quelques mois plus tard, c'est au tour de Maurane de partir. Voici des articles qui font référence au livre:
Le Huffpost édition Québec , PureBreak Charts...
Quelques médias:
MOI FM (le podcast de l'interview est là!), le 16 octobre 2017, dans L’œil de Sab animé par Sabrina Fraty. Emission avec Fabienne Amiach (présentatrice de la météo sur France 3 depuis 28 ans) pour son livre "Les potagers des grosses légumes" aux éditions Fortuna.
Sabrina Fraty, Fabienne Amiach et moi.
Sabrina Fraty, Fabienne Amiach et moi.
Fabienne Amiach et moi interprétant en direct, "Le monde est stone".
Photo d'après émission avec Sabrina Fraty, le rappeur Alibi Montana (directeur de la radio), Fabienne Amiach et moi.
Ici avec Olivier Vadrot (manager d'artistes), Sabrina Fratry, Fabienne Amiach et son éditeur François Michalon.
Radio Air Show, le 27 octobre 2017, dans Le Kiosque, animé par Arno Koby. (Le podcast est là).
Face à toute l'équipe de l'émission Le kiosque.
En pleine écoute.
Présentation de l'ouvrage.
L'auteur compositeur interprète et humoriste Show Man, William Klank (http://william-klank.com/) présente l'objet.
Jacky lave plus propre (JLPP), présenté par Jacky sur IDF1, le 7 novembre 2017. (Le podcast de l'interview est là. Commencer à 24'16'')
Avant l'interview, le divertissement (tout est visible ici en replay). Ici Jonglage.
Là, dessin.
Si. Ceci est bien une chaise.
Sauter à cloche-pied en épelant un mot à l'envers. La promo d'aujourd'hui.
Et enfin, la promo…
Avec les deux autres invités (très sympathiques), la chanteuse Noon et le chanteur Olivier Saf.
Radio Campus Paris (93.9 FM) le vendredi 10 novembre 2017 de 21h à 22h30, l'émission TriFaZé avec Buridane, Alysce (en direct) et moi (en différé) animée par l'excellente Cécile Goguely et la participation de Cyril Adda. Le podcast de l'émission est là (début d'interview sur le livre à 58'29'').
Enregistrement de l'interview par Cécile Goguely, le 5 novembre 2017 à l'agence Mixicom.
Le 15 novembre 2017, dans les matinales d'IDFM (Radio Enghien), présenté par Christophe Caron. (Pas de podcast).
Dans l'émission de François Joyeux, Une heure avec... (à écouter là) sur différentes radios provinciales (voir bandeau ci-dessus).
Avec François Joyeux, lors de l'enregistrement de "Une heure avec...", le 17 janvier 2018.
Dans l'émission Que faire des mômes présentée par Eric Coudert et diffusé sur plus de 30 radios. (A écouter là à partir de 26 mn 10 secondes).
Avec Eric Coudert, lors de l'enregistrement de "Que faire des mômes", le 19 janvier 2018.
Sur France Musique, le dimanche 10 décembre dans l'émission, 42e Rue, présentée par Laurent Valière, le livre est chroniqué.
Le 30 novembre 2017, dans l'émission 18h-Minuit présenté par David Khalifa, sur la chaîne de télévision Non Stop People.
En régie...
Avec le journaliste David Khalifa après l'interview.
Le 4 décembre 2017, sur la télé des Pyrénées HPyTv dans l'émission présentée par Steeve, HpyHour (#136). A partir de 4'18''
Le 15 janvier 2018 dans l'émission "Loft Music" sur Sud Radio présenté par Yvan Cujious, depuis le studio Luna Rossa à Paris avec les artistes Noon, Geneviève Morissette et Cyril Adda. L'émission en podcast est là.
Noon, Cyril Adda, Geneviève Morissette, moi et Yvan Cujious.
Cyril Adda, Noon et Geneviève Morissette.
Après l'émission, Cyril Adda, Geneviève Morissette, Noon, moi et Yvan Cujious.
A Europe 1, pour Europe Week-end présentée par Wendy Bouchard. Je suis le coup de cœur culturel du 4 mars 2018. Ecouter le podcast ici.
Avec Wendy Bouchard, pendant et après l'enregistrement de l'interview, le 26 janvier 2018.
Frédéric Zeitoun a interviewé Fabienne Thibeault et moi pour l'émission de France 2, C'est au programme, présentée par Sophie Davant. Ce reportage a été diffusée le vendredi 9 février 2018. Le voici.
Voici quelques photos pendant l'enregistrement de ce reportage.
Avec une maquilleuse de choix... #générositédelartiste
En pleine interview de Frédéric Zeitoun.
Hop! Raccord maquillage. Fabienne Thibeault, toujours aussi prévenante et généreuse.
Fabienne Thibeault, elle aussi interviewée pour ce spécial Starmania.
Avec Fabienne Thibeault, à la fin de l'enregistrement.
Avec Frédéric Zeitoun, à la fin de l'enregistrement.
L'excellente journaliste Véronique de la Maisonneuve m'a reçu le 27 mars 2018 dans le mag culture de Radio Sensations (à Elancourt), la radio des Yvelines. L'émission a été diffusé le samedi 31 mars 2018. Le podcast est là.
Pendant l'enregistrement…
Le 17 avril 2018, le journaliste culturel de France 2, Laurent Hakim, m'a interviewé dans les locaux de France Télévisions pour le journal télévisé du Week-end présenté par Thomas Sotto. Le reportage a été diffusé le samedi 16 juin 2018. Vous pouvez le voir ici.
Quelques photos des coulisses du tournage.
Yves Lecoq m'a interviewé le 4 mai 2018 pour l'émission de France 3, Les grands du rire. L'émission a été diffusée le 15 septembre 2018.
Avant l'interview. Plateau vide.
En place.
En régie...
Après l'enregistrement.
Le 29 août 2018, j'ai été l'invité de Sidonie Bonnec et Thomas Hugues sur RTL dans l'émission La curiosité est un vilain défaut pendant 45 mn. Le podcast est écoutable là.
(Photo : Isabelle Piana/RTL)
En direct...
Avec Sidonie Bonnec et Thomas Hugues, à la fin de l'émission.
Le 13 septembre 2018, tournage pour l'émission Cette semaine-là pour France 3 à l'hôtel Mansart.
Et la diffusion de l'émission s'est tenue le 14 octobre 2018 (voir là).
Le 14 décembre 2018 dans l'émission "Loft Music" sur Sud Radio présenté par Yvan Cujious, depuis le studio Luna Rossa à Paris. Je suis venu avec quelques amis artistes que j'ai choisi : Francoeur, Centaure et Peter Lorne (une étoile noire dans la version 1988 et grand ami de France Gall). C'était une émission pour rendre hommage à France Gall. J'ai bien sûr beaucoup évoqué Starmania. L'émission en podcast est là.
(Photo : Didier Venom)
(Photo : Didier Venom)
(Photo : Didier Venom)
(Photo : Didier Venom)
(Photo : Didier Venom)
(Photo : Didier Venom)
(Photo : Didier Venom)
(Photo : Didier Venom)
(Photo : Didier Venom)
(Photo : Didier Venom)
Le 9 avril 2019, Catherine Richer m'a interrogé sur le 40e anniversaire de Starmania sur scène dans l'émission Le 15-18 sur Radio Canada.
Ecoutez ici.
Le 10 avril 2019, le site de Radio Canada a écrit un reportage sur Starmania d'après mon livre.
A lire ici.
Le 10 avril 2019, Yannick Boréan m'a interviewé en vidéo pour le site de France Bleu. Voir et lire là.
A lire aussi sur le site de France Bleu, Starmania, 40 ans de succès, La genèse (d'après mon livre).
Le 19 mars dernier, Wendy Bouchard m'invite de nouveau sur Europe 1, mais cette fois-ci dans son émission On fait le tour de la question. Une heure pour parler des 40 ans de Starmania en compagnie de Fabienne Thibeault qui vient de sortir un livre sur le sujet, Mon Starmania, par la première serveuse automate et David Abiker, grand fan de Starmania qui a écrit la préface du livre de Fabienne. Une heure absolument géniale écoutable ici! Et Europe 1 a débriefé l'émission ici.
Le livre de Fabienne et le mien sont aussi référencés à propos d'un sujet sur Starmania sur le site de France Inter.
En direct avec Julie et Wendy Bouchard.
De gauche à droite : Julie, Wendy Bouchard, Fabienne Thibeault et David Abiker.
En régie…
Photo de fin d'émission : Julie, bibi, Wendy Bouchard, Fabienne Thibeault et David Abiker.
3 ans plus tard, le 9 avril 2021, je passe à la vitesse grand V dans le journal de 20h de France 2 pour évoquer Michel Berger et Starmania. A voir ici.
Quelques signatures:
Dédicace (en toute discrétion) au Rivoli 59, dans le cadre de la journée de présentation du Mégaphone Tour 2017-2018.
Sur mon stand, j'ai reçu la visite de la journaliste de FrancoFans, Stéphanie Berrebi...
...qui m'a offert un joli autocollant.
Martin Luminet est passé aussi.
Siau.
Avec Geneviève Morissette.
Une Camille Hardouin se cache derrière mon livre. Sachez la retrouver.
...et enfin Jeanne Rochette. Merci à tous d'être venus faire un coucou.
Séance de dédicaces du livre à l'Espace Culturel Leclerc du Méridien à Ibos (à coté de Tarbes).
La Nouvelle République des Pyrénées a annoncé l'événement.
Pyrénées infos Tarbes, aussi (lire là).
Des anonymes fans de Starmania...
...et des amis.
La Nouvelle République des Pyrénées du mardi 21 novembre 2017 est revenu sur cette signature.
J'étais invité au 16e Salon du Livre et de la Chanson à Randan les 15 et 16 septembre 2018.
Quelques minutes avant l'ouverture...
Avec Olivier Vadrot, mon attaché de presse/manager préféré qui s'est bien occupé de moi durant ces deux jours.
Mon voisin de table durant ces deux journées, Nilda Fernandez. Un lien s'est créé entre nous.
Avec Oliver Vadrot et Nilda Fernandez. Le trio de choc!
Une fan (très austère) de Starmania.
Jacqueline Boyer, Anne Sylvestre et moi (attendant les lecteurs).
L'orchestre de l'Université de Limoges, le chœur de l'Université et des artistes professionnels ont interprété "Les chansons de Starmania" à l'Opéra de Limoges le 22 septembre 2018. J'ai été invité à et évènement par la directrice du service culturel de l'Université de Limoges, Nadine Gogne. Ce jour-là, l'occasion m'a été donné de me livrer à deux séances de dédicaces.
La presse locale en a parlé…
Pour lire l'article ci-dessous, cliquez sur l'image (ou achetez-vous une bonne loupe).
Un article très sympa sur le site de France 3 Nouvelle Aquitaine.
La librairie Anecdotes avait fait les choses en grand.
Avant ces deux dédicaces, j'ai fait un peu de promo à France Bleu Limousin avec Christophe Besson (animateur et responsable des programmes).
Avant la dédicace à la Libraire Anecdotes, un peu de repos devant l'entrée… genre, je suis là par hasard.
C'est parti pour une après-midi de dédicaces.
Jean-Michel Gillet, le bienveillant maître des lieux.
Une fan de Starmania...
Avant de partir, pot de l'amitié.
Le soir, la représentation de "Les chansons de Starmania" s'est parfaitement déroulée à l'Opéra de Limoges. (Photo : Isabelle Rio).
Ici, avec Nadine Cogne, la directrice du service culturel de l'Université de Limoges et organisatrice de l'évènement, ici en "étoile noire".
Il est temps de signer…
Le 10 novembre 2018, dédicaces à la librairie les Volcans à Clermont-Ferrand.
Avec Dominique Janin (Kanopé Prod, réseau chanson occitanie).
Du monde, cet après-midi là. Merci à tous les auvergnats présents, attentifs et réceptifs!
Le lendemain, le 11 novembre 2019, à Cébazat, autre séance de signature. Cette fois-ci dans le cadre du festival Sémaphore en Chanson.
(Photo : David Desreumaux)
J'étais invité au 17e Salon du Livre et de la Chanson à Randan les 6 et 7 avril 2019. Là deuxième fois en un an pour ce livre...
Il faut y mettre du sien pour convaincre...
J'ai passé deux jours merveilleux avec Pascal Danel et sa femme Florence.
Nous avons eu de belles conversations, sérieuses...
...parfois moins.
Florence et Pascal Danel, bibi et Olivier Vadrot, mon pote manager grâce à qui je suis régulièrement invité à ce salon.
En pleine conversation sur Starmania avec Stone.
"Stone, le monde est Stone" (Ca, s'est fait!)
Monty en pleine lecture de.
Avec Monty et le manager René Sorre.
22:56 Publié dans Les coulisses du show biz, Livre, Musique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : françois alquier, mandor, interview, l'aventure starmania